@rive-bleue alors je te la dépose .Me suis amusée au lieu de bosser. Faut le faire ça !
Je suis arrivé à cette fête, la fille qui m’a ouvert portait une espèce de jupe bouffante, et une haie de types et nanas se perdait dans un interminable couloir. Elle a eu un sourire surpris, elle tenait toujours la poignée. En haut de la porte, une plaque en cuivre sur laquelle était gravée « SOPHIE MACHIN » Je lui ai demandé si elle était Sophie .Elle a répondu « non moi c’est …. » j’ai pas compris , elle avait quasiment avalé les mots. J’ai dit que j’étais l’ami de Paul et j’ai sorti ma bouteille planquée sous mon blouson. « Je le connais pas m’a telle répondu en gloussant, mais Sophie est quelque part par là, je vous laisse vous débrouiller ». Je me suis d’abord rendu dans la cuisine, pour mettre mon champ premier prix au congélo. Y’avait des types en costard qui sirotaient du scotch je me suis joint à eux. Surtout pour le scotch. Dans la pièce principale , j’ai vu cette rousse qui m’a immédiatement électrisé le bulbe . Le DJ venait d’avoir une inspiration en enchaînant des musiques africaines. J’ai attrapé sa taille de guêpe et elle s’est laissée faire. . Elle devait avoir un petit coup dans l’aile, elle riait tout le temps et pourtant il était bien banal mon baratin. Pour un peu que les filles aient envie qu’on leur conte fleurette, elles vous suivent où vous les amenez. Je l’ai attirée vers la cuisine. On a grignoté, ouvert une bouteille de champ . . Elle riait toujours autant .je l’ai embrassée, elle m’a embrassé quand tout à coup un gars est venu nous dire que le spectacle allait commencer. Grand tralala, bougies , gâteaux. Ils venaient d’éteindre les lumières, c’est ainsi que je me suis décidé à entrer dans la chambre qui servait de vestiaire. J’ai tranquillement récolté quelques liasses de billets. La belle aubaine pour un gars comme moi, sans ressources, sans scrupule aucune qui s’était incrusté dans une fête avec son champagne acheté chez l’épicier du coin. Au final, Je n’étais pas mécontent d’autant qu’une belle rousse était à mes côtés et qu’elle sentait bon le sable chaud. Mais faut toujours se méfier .Elle m’a fait les poches et elle est partie alors que je dormais encore . Me suis retrouvé encore sans thune, avec juste derrière moi une fiesta à la noix , le souvenir d’une peau douce, et rien devant .