@wawa007 attention à ne pas faire comme la recette de la dinde au whisky ! ^^
Acheter une dinde d'environs 5 kg pour 6 personnes et une bouteille de whisky, du sel, du poivre, de l'huile d'olive, des bardes de lard.
La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.
Faire préchauffer le four (thermostat 7) pendant dix minutes.
Se verser un verre de whisky pendant ce temps-là.
Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.
Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.
Se bercer 3 berres de whisky.
Apres une debi-beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.
Brendre la vouteille de biscuit et s'enfiler une bonne rasade derrière la bravate - non - la cravate.
Apres une demi-heure de blus, tituber jusqu'au bour. Oubrir la putain de borte du bour et reburner - non - revourner - non - recourner - non - enfin, mettre la guinde dans l'autre sens.
Se prûler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.
Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se reverdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.
Buire - non - luire - non - cuire - non - ah ben si - cuire la bringue bandant 4 heures.
Et hop, 5 berres de plus. Ça fait du bien par oû que ça passe.
R'tirer le four de la dinde.
Se rebercer une bonne goulée de whisky.
Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau parce que ça a raté la bremière fois.
Rabasser la dinde qui est tombée bar terre. L'ettuyer avec une saleté de chiffon et la foutre sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...
Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.
Décider que l'on est aussi bien par terre et binir la mouteille de rhisky.
Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.
Manger la dinde froide avec une bonne mayonnaise, le lendemain matin et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journée.
Heureux les fêlés...
Être dans le vent c'est avoir une ambition de feuille morte