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    Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !

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    • Zazoute
      Zazoute @Mai Tai dernière édition par

      Je vote pour Lapin

      "Mais ce que je n'ignore pas de le savoir, c'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds"

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
      • ayamé
        ayamé Banni @Mai Tai dernière édition par

        @mai-tai : pff, c'est juste qu'ils ont peur que je me défile et déclare forfait . Ils veulent me voir agoniser dans l'arène ! Tu sais bien, que veut le bon peuple , ici comme à Rome ? Du pain et des jeux ! 😱 😂

        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
        • Hornet
          Hornet @Mai Tai dernière édition par

          @mai-tai T'as encore un joker non ?

          People Always Look Better in the Sun

          Mai Tai 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
          • Mai Tai
            Mai Tai @Hornet dernière édition par Mai Tai

            @hornet un joker ?
            Tu veux dire que je n'ai pas eu de défaite ?
            On est que 3 encore en course, ça me semblait logique de finir là, surtout que je sens une lassitude dans les rangs !

            @Zazoute t'es en retard 😁

            J'aime pas les gens

            Zazoute 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
            • Zazoute
              Zazoute @Mai Tai dernière édition par

              @mai-tai arf mince oui en effet, oups...

              "Mais ce que je n'ignore pas de le savoir, c'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds"

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
              • Lapin
                Lapin @ayamé dernière édition par

                @ayamé Tes lions sont un quokka et un lapin, on a connu plus féroce comme combat que contre 2 paisibles herbivores 😄

                The only thing I do know is that we have to be kind. Please, be kind. Especially when we don't know what's going on.

                ayamé 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                • ayamé
                  ayamé Banni @Lapin dernière édition par

                  @lapin ; ouais, cause toujours, je vous crains tous les 2, t'as pas idée. 😱
                  Mais pas grave, je survivrai 😉 .

                  Biquette 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                  • Biquette
                    Biquette @ayamé dernière édition par

                    @ayamé a dit dans Battles lecture: Première édition :

                    je survivrai

                    je ne te remercie pas, maintenant j'ai ça en tête 😂 :

                    Heureux les fêlés...
                    Être dans le vent c'est avoir une ambition de feuille morte

                    ayamé 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                    • ayamé
                      ayamé Banni @Biquette dernière édition par

                      @biquette : égoïstement, je te répondrai que cette chanson me booste 😉 .

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                      • Mai Tai
                        Mai Tai dernière édition par

                        Finalement, je lancerai les extraits de la finale mardi soir et je laisserai 48h pour voter.
                        Parce que nous le valons bien 😎

                        J'aime pas les gens

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 7
                        • Mai Tai
                          Mai Tai dernière édition par Mai Tai

                          🏆 C'EST LA FINALE !!! 🏆

                          Ayamé 🥊 Lapin 🥊 Mai Tai


                          Je ne tournerai pas autour du pot, voici les 3 extraits proposés par les finalistes, sur le thème C'est la fin.


                          Extrait d'Ayamé

                          Je ne peux croire qu'il soit souhaitable d'intervenir en lieu et place d'autrui à moins qu'on ne le méprise.
                          Et d'ailleurs, je lui fais confiance (à mon fils), son tour viendra, il quittera la maison d'enfance pour une autre qui sera la sienne et dans laquelle il commencera à vivre.
                          Pour l'instant, il est étonné par ce qu'il considère comme une démission alors que je viens de devenir sans qu'il s'en aperçoive "son 1er pas qui coûte".
                          Nous avons tenu secrets les chagrins irréversibles et chassé à coups de rires et de colères les désespoirs indignes.
                          Je n'ai pas de temps à perdre en mélancolie. Les enfants m'assignent chaque jour un peu plus cru à la réalité de ma situation : 15 ans à être leur mère avant tout.
                          Ils ne manifestaient pas l'intention de m'oublier mais de m'aimer; c'était assez inespéré pour que je saississe le galet au bond et entame avec eux une merveilleuse partie de marelle.
                          Exit la femme nouvellement née ; pour elle, on aviserait plus tard ; place à la mère (encore).
                          La dignité des mères m'insupporte, à moins qu'elle ne me fasse pitié. Mes enfants méritent autre chose qu'une icône dérisoire et crucifiée. Je jouerai une autre partition.
                          Et alors puisque nous avons gagné, les uns par rapport aux autres, la liberté de mouvement, que nous allons encore mieux apprendre, dans un an, dans cinq ans, à respecter nos libertés et nos évidences ? Le voilà l'amour sésame, l'amour solution il est à naître chaque matin.
                          Et vous, les trois agneaux, défiez-vous de la bergère qui invente les chemins de vos patûrages, refusez sa houlette et que votre troupeau se disperse à l'écart des sentiers battus. A vous de résister. A vous d'écouter en vous l'autre voix, la voix majeure, celle que je ne pourrai jamais entendre même si je me fais contre vous l'oreille fine : votre voix, qui doit dicter sans appel, celle que je vous souhaite et dont j'assure provisoirement l'intérim.
                          Le jour où il faudra céder le pas, céder la voix, j'y serai préparée. Je ne surveillerai même pas l'envol, c'est promis.
                          Pour vous, il n'y aura jamais de Méduse. Je vous souhaite un joyeux départ.

                          Extrait de Journal d'une mère indigne de Manuèle Peyrol.

                          Extrait de Lapin

                          Il ne répondit rien à ma question, mais il ajouta :
                          – Moi aussi, aujourd’hui, je rentre chez moi...
                          Puis, mélancolique :
                          – C’est bien plus loin... c’est bien plus difficile...
                          Je sentais bien qu’il se passait quelque chose d’extraordinaire. Je le serrais dans les bras comme un petit enfant, et cependant il me semblait qu’il coulait verticalement dans un abîme sans que je pusse rien pour le retenir...
                          Il avait le regard sérieux, perdu très loin :
                          – J’ai ton mouton. Et j’ai la caisse pour le mouton. Et j’ai la muselière...
                          Et il sourit avec mélancolie.
                          J’attendis longtemps. Je sentais qu’il se réchauffait peu à peu :
                          – Petit bonhomme, tu as eu peur...
                          Il avait eu peur, bien sûr ! Mais il rit doucement :
                          – J’aurai bien plus peur ce soir...
                          De nouveau je me sentis glacé par le sentiment de l’irréparable. Et je compris que je ne supportais pas l’idée de ne plus jamais entendre ce rire. C’était pour moi comme une fontaine dans le désert.
                          – Petit bonhomme, je veux encore t’entendre rire...
                          Mais il me dit :
                          – Cette nuit, ça fera un an. Mon étoile se trouvera juste au- dessus de l’endroit où je suis tombé l’année dernière...
                          – Petit bonhomme, n’est-ce pas que c’est un mauvais rêve cette histoire de serpent et de rendez-vous et d’étoile...
                          Mais il ne répondit pas à ma question. Il me dit :
                          – Ce qui est important, ça ne se voit pas...
                          – Bien sûr...
                          – C’est comme pour la fleur. Si tu aimes une fleur qui se trouve dans une étoile, c’est doux, la nuit, de regarder le ciel. Toutes les étoiles sont fleuries.
                          – Bien sûr...
                          – C’est comme pour l’eau. Celle que tu m’as donnée à boire était comme une musique, à cause de la poulie et de la corde... tu te rappelles... elle était bonne.
                          – Bien sûr...
                          – Tu regarderas, la nuit, les étoiles. C’est trop petit chez moi pour que je te montre où se trouve la mienne. C’est mieux comme ça. Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles. Alors, toutes les étoiles, tu aimeras les regarder... Elles seront toutes tes amies. Et puis je vais te faire un cadeau...
                          Il rit encore.
                          – Ah ! petit bonhomme, petit bonhomme j’aime entendre ce rire !
                          – Justement ce sera mon cadeau... ce sera comme pour l’eau...
                          – Que veux-tu dire ?
                          – Les gens ont des étoiles qui ne sont pas les mêmes. Pour les uns, qui voyagent, les étoiles sont des guides. Pour d’autres elles ne sont rien que de petites lumières. Pour d’autres, qui sont savants, elles sont des problèmes. Pour mon businessman elles étaient de l’or. Mais toutes ces étoiles-là se taisent. Toi, tu auras des étoiles comme personne n’en a...
                          – Que veux-tu dire ?
                          – Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire ! Et il rit encore.
                          – Et quand tu seras consolé (on se console toujours) tu seras content de m’avoir connu. Tu seras toujours mon ami. Tu auras envie de rire avec moi. Et tu ouvriras parfois ta fenêtre, comme ça, pour le plaisir... Et tes amis seront bien étonnés de te voir rire en regardant le ciel. Alors tu leur diras : « Oui, les étoiles, ça me fait toujours rire ! » Et ils te croiront fou. Je t’aurai joué un bien vilain tour...
                          Et il rit encore.
                          – Ce sera comme si je t’avais donné, au lieu d’étoiles, des tas de petits grelots qui savent rire...
                          Et il rit encore. Puis il redevint sérieux :
                          – Cette nuit... tu sais... ne viens pas.
                          – Je ne te quitterai pas.
                          – J’aurai l’air d’avoir mal... j’aurai un peu l’air de mourir. C’est comme ça. Ne viens pas voir ça, ce n’est pas la peine...
                          – Je ne te quitterai pas.
                          Mais il était soucieux.
                          – Je te dis ça... c’est à cause aussi du serpent. Il ne faut pas qu’il te morde... Les serpents, c’est méchant. Ça peut mordre pour le plaisir...
                          – Je ne te quitterai pas.
                          Mais quelque chose le rassura :
                          – C’est vrai qu’ils n’ont plus de venin pour la seconde morsure...
                          Cette nuit-là je ne le vis pas se mettre en route. Il s’était
                          évadé sans bruit. Quand je réussis à le rejoindre il marchait dé-
                          cidé, d’un pas rapide. Il me dit seulement :
                          – Ah ! tu es là...
                          Et il me prit par la main. Mais il se tourmenta encore :
                          – Tu as eu tort. Tu auras de la peine. J’aurai l’air d’être mort et ce ne sera pas vrai...
                          Moi je me taisais.
                          – Tu comprends. C’est trop loin. Je ne peux pas emporter ce corps-là. C’est trop lourd.
                          Moi je me taisais.
                          – Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée. Ce n’est pas triste les vieilles écorces...
                          Moi je me taisais.
                          Il se découragea un peu. Mais il fit encore un effort :
                          – Ce sera gentil, tu sais. Moi aussi je regarderai les étoiles. Toutes les étoiles seront des puits avec une poulie rouillée. Toutes les étoiles me verseront à boire...
                          Moi je me taisais.
                          – Ce sera tellement amusant ! Tu auras cinq cents millions de grelots, j’aurai cinq cents millions de fontaines...
                          Et il se tut aussi, parce qu’il pleurait...
                          – C’est là. Laisse-moi faire un pas tout seul.
                          Et il s’assit parce qu’il avait peur. Il dit encore :
                          – Tu sais... ma fleur... j’en suis responsable ! Et elle est tellement faible ! Et elle est tellement naïve. Elle a quatre épines de rien du tout pour la protéger contre le monde...
                          Moi je m’assis parce que je ne pouvais plus me tenir debout. Il dit :
                          – Voilà... C’est tout...
                          Il hésita encore un peu, puis il se releva. Il fit un pas. Moi je ne pouvais pas bouger.
                          Il n’y eut rien qu’un éclair jaune près de sa cheville. Il demeura un instant immobile. Il ne cria pas. Il tomba doucement comme tombe un arbre. Ça ne fit même pas de bruit, à cause du sable.

                          Extrait de Le Petit Prince d'Antoine de Saint-Exupéry.

                          Extrait de Mai Tai

                          Norbert de Varenne parlait d’une voix claire, mais retenue, qui aurait sonné dans le silence de la nuit s’il l’avait laissée s’échapper. Il semblait surexcité et triste, d’une de ces tristesses qui tombent parfois sur les âmes et les rendent vibrantes comme la terre sous la gelée.
                          Il reprit :
                          – Qu’importe, d’ailleurs, un peu plus ou un peu moins de génie, puisque tout doit finir !
                          Et il se tut.
                          Duroy, qui se sentait le cœur gai, ce soir-là, dit, en souriant :
                          – Vous avez du noir, aujourd’hui, cher maître.
                          Le poète répondit.
                          – J’en ai toujours, mon enfant, et vous en aurez autant que moi dans quelques années. La vie est une côte. Tant qu’on monte, on regarde le sommet, et on se sent heureux ; mais, lorsqu’on arrive en haut, on aperçoit tout d’un coup la descente, et la fin qui est la mort. Ça va lentement quand on monte, mais ça va vite quand on descend. À votre âge, on est joyeux. On espère tant de choses, qui n’arrivent jamais d’ailleurs.
                          Au mien, on n’attend plus rien... que la mort.
                          Duroy se mit à rire :
                          – Bigre, vous me donnez froid dans le dos.

                          Norbert de Varenne reprit :
                          – Non, vous ne me comprenez pas aujourd’hui, mais vous vous rappellerez plus tard ce que je vous dis en ce moment.
                          Il arrive un jour, voyez-vous, et il arrive de bonne heure pour beaucoup, où c’est fini de rire, comme on dit, parce que derrière tout ce qu’on regarde, c’est la mort qu’on aperçoit.
                          Oh ! vous ne comprenez même pas ce mot-là, vous, la mort. À votre âge, ça ne signifie rien. Au mien, il est terrible.
                          Oui, on le comprend tout d’un coup, on ne sait pas pourquoi ni à propos de quoi, et alors tout change d’aspect, dans la vie. Moi, depuis quinze ans, je la sens qui me travaille comme si je portais en moi une bête rongeuse. Je l’ai sentie peu à peu, mois par mois, heure par heure, me dégrader ainsi qu’une maison qui s’écroule. Elle m’a défiguré si complètement que je ne me reconnais pas. Je n’ai plus rien de moi, de moi l’homme radieux, frais et fort que j’étais à trente ans. Je l’ai vue teindre en blanc mes cheveux noirs, et avec quelle lenteur savante et méchante ! Elle m’a pris ma peau ferme, mes muscles, mes dents, tout mon corps de jadis, ne me laissant qu’une âme désespérée qu’elle enlèvera bientôt aussi.
                          Oui, elle m’a émietté, la gueuse, elle a accompli doucement et terriblement la longue destruction de mon être, seconde par seconde. Et maintenant je me sens mourir en tout ce que je fais. Chaque pas m’approche d’elle, chaque mouvement, chaque souffle hâte son odieuse besogne. Respirer, dormir, boire, manger, travailler, rêver, tout ce que nous faisons, c’est mourir. Vivre enfin, c’est mourir !
                          Oh ! vous saurez cela ! Si vous réfléchissiez seulement un quart d’heure, vous la verriez.
                          Qu’attendez-vous ? De l’amour ? Encore quelques baisers, et vous serez impuissant.
                          Et puis, après ? De l’argent ? Pour quoi faire ? Pour payer des femmes ? Joli bonheur ?
                          Pour manger beaucoup, devenir obèse et crier des nuits entières sous les morsures de la goutte ?
                          Et puis encore ? De la gloire ? À quoi cela sert-il quand on ne peut plus la cueillir sous forme d’amour ?
                          Et puis, après ? Toujours la mort pour finir.
                          Moi, maintenant, je la vois de si près que j’ai souvent envie d’étendre les bras pour la repousser. Elle couvre la terre et emplit l’espace. Je la découvre partout. Les petites bêtes écrasées sur les routes, les feuilles qui tombent, le poil blanc aperçu dans la barbe d’un ami me ravagent le cœur et me crient : « La voilà ! »
                          Elle me gâte tout ce que je fais, tout ce que je vois, ce que je mange et ce que je bois, tout ce que j’aime, les clairs de lune, les levers de soleil, la grande mer, les belles rivières, et l’air des soirs d'été, si doux à respirer !

                          Il allait doucement, un peu essoufflé, rêvant tout haut, oubliant presque qu’on l’écoutait.
                          Il reprit :
                          – Et jamais un être ne revient, jamais... On garde les moules des statues, les empreintes qui refont toujours des objets pareils ; mais mon corps, mon visage, mes pensées, mes désirs ne reparaîtront jamais. Et pourtant il naîtra des millions, des milliards d’êtres qui auront dans quelques centimètres carrés un nez, des yeux, un front, des joues et une bouche comme moi, et aussi une âme comme moi, sans que jamais je revienne, moi, sans que jamais même quelque chose de moi reconnaissable reparaisse dans ces créatures innombrables et différentes, indéfiniment différentes bien que pareilles à peu près.
                          À quoi se rattacher ? Vers qui jeter des cris de détresse ? À quoi pouvons-nous croire ?
                          Toutes les religions sont stupides, avec leur morale puérile et leurs promesses égoïstes, monstrueusement bêtes.
                          La mort seule est certaine.

                          Extrait de Bel-Ami de Guy de Maupassant.

                          Vous pouvez à présent voter pour votre extrait préféré.

                          %(#A10684)[**Je vote pour Ayamé**]
                          %(#4B0082)[**Je vote pour Lapin**]
                          %(#DB0073)[**Je vote pour Mai Tai**]

                          Vous avez jusqu'à jeudi 23 juin à 19h, soit 48h, pour faire votre en choix en copiant le code qui correspond.

                          Bonne lecture ! 📚

                          J'aime pas les gens

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                          • Leitmotiv
                            Leitmotiv dernière édition par

                            Je vote pour Lapin

                            Ami(e)s du jour, bonjour.
                            Ami(e)s du soir, bonsoir

                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                            • Zazoute
                              Zazoute dernière édition par Zazoute

                              Je vote pour Lapin

                              "Mais ce que je n'ignore pas de le savoir, c'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds"

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                              • Kachina
                                Kachina Banni dernière édition par Kachina

                                Le jour où il faudra céder le pas, céder la voix, j'y serai préparée. Je ne surveillerai même pas l'envol, c'est promis. Pour vous, il n'y aura jamais de Méduse. Je vous souhaite un joyeux départ.

                                C'est un peu ce que j'aurai voulu écrire à ma fille , lorsqu'elle a quitté le nid. C'est fou, aujourd'hui, j'arrive toujours pas à en parler sans trémolos dans la voix.

                                Antoine, Guy, m'en voulez-pas trop !

                                Je vote pour Ayamé

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                                • Steliane
                                  Steliane dernière édition par

                                  Je vote pour Mai Tai

                                  Là où même le soleil brille un peu plus fort.

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                  • Music
                                    Music Banni dernière édition par

                                    Trois extraits de qualité, merci aux finalistes !

                                    Mais le style de Maupassant, le thème... "Et jamais un être ne revient jamais"... "La mort seule est certaine", oui c'est assez magnifique, criant de vérité, alors :

                                    Je vote pour Mai Tai

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                    • Orabig
                                      Orabig dernière édition par

                                      Je vote pour Lapin

                                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                      • Artelise
                                        Artelise dernière édition par

                                        Ah ! mais quel pessimisme dans l'extrait de Bel Ami !
                                        Quelle vision triste et morne de la vie !

                                        Par contre, que d'espoirs et d'amour, dans l'extrait du journal d'une mère indigne !

                                        Je vote pour Ayamé

                                        Survive
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                                        Laugh
                                        Repeat

                                        Mai Tai Music 2 réponses Dernière réponse Répondre Citer 2
                                        • Mai Tai
                                          Mai Tai @Artelise dernière édition par

                                          @artelise je le trouve beau cet extrait de Bel-Ami, sans que ça veuille dire que j'adhère à cette vision 😆 si ça peut te rassurer !

                                          J'aime pas les gens

                                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                                          • Music
                                            Music Banni @Artelise dernière édition par

                                            @artelise Ce n'est pas une histoire de pessimisme, c'est une (parmi d'autres) vision de la mort, qui fait partie de la vie.
                                            Mai Thai a raison, on peut trouver cet extrait très beau, car il l'est sans aucun doute, sans pour autant adhérer à cette vision.

                                            Artelise 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
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