@music La cuisine exotique,on trouve que c'est bon qd c'est tout prêt,bien cuisiné par un restau ou un qui sait faire!
Perso,j'ai vraiment beaucoup de plaisir à manger chinois de temps en temps,mais les rares fois que j'essaie,même des nouilles chinoises ,c'est bof!
En cherchant,j'ai trouvé pourquoi les japonais l'apprécient!
Cet aliment mis à la mode chez nous par quelques nutritionnistes-stars, est consommé, au Japon, depuis plus de deux mille ans.
Le konjac est une plante de la famille des aracées, nommée Amorphophallus konjac et apparentée à l'igname, cultivée dans toute l’Asie. Son énorme tubercule (jusqu’à 80 cm de circonférence) est réduit en une fine poudre blanche, ingrédient de base de la cuisine asiatique puis transformée ensuite en bloc ou en vermicelles.
Attention, le konjac ne contient ni vitamines, ni minéraux ! Il doit donc être intégré dans un régime alimentaire diversifié, riche en végétaux. Mais il a de nombreuses autres vertus.
Il renferme une fibre soluble, le glucomannane. En présence d’un liquide, elle absorbe jusqu’à 100 fois son volume d’eau, devenant un gel visqueux qui piège graisses et sucres. Avec 3 calories pour 100 g !
Au Japon, on en mange pour se nettoyer l’intestin. En effet, en passant dans cet organe, il capture les toxines qu’il aide à éliminer.Riche en fibres : c’est la source naturelle la plus riche en fibres qui soit. Si le son d’avoine en contient 14 %, le konjac, lui, affiche 64 % (sur matière sèche).
Du coup, il contribue à réguler les transits paresseux. De plus, c’est un prébiotique très intéressant qui permet de nourrir notre micobiote.
Au-delà de ses qualités minceur, le konjac aide à stabiliser la glycémie et le taux de cholestérol.
Difficile de définir le goût du konjac. C’est un peu élastique, neutre en bouche, ferme et transparent… Résistant à la chaleur, il s’adapte à de nombreuses préparations.