Charles III roi du Royaume-Uni
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@Hilda-Van-Holp : tout dépend du problème de santé en fait. Et puis, un président ne gouverne pas seul non plus. Charles n'est pas un roi régnant, il n'est là que pour l'apparât. Ses problèmes de santé ne perturbent que le planning de ses représentations.
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@ayamé oui mais si ça perturbe son planning ça se répercute sur les autres. Son cadet est obligé de venir en renforts si j'ai bien compris.
De plus si les gens ne voient plus pendant quelques temps un de leur représentant qui se doit de se montrer souvent les polémiques vont aller bon train "il est mort on veut pas nous le dire" "ils l'ont séquestré pour renverser la royauté...". Ils ont un devoir de représentation.
Qu'on l'aime ou pas si on ne voyait plus du tout notre président en poste pendant six mois par exemple on finirait par se poser des questions...de même avec un premier ministre, un présentateur télé etc ...
Catherine Laborde a bien été obligée d'expliquer pourquoi on ne la verrait plus a la télé. Pourtant elle ne faisait "que" présenter la météo. Mais elle était dans le quotidien des Français.
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@Hilda-Van-Holp a dit dans Charles III roi du Royaume-Uni :
Wow ! Je sais pas ce qu'il vous a fait le roi Charles mais ça doit pas être bien jojo.
Contente de pas être une personnalité moi...ça m'embêterait que mes problèmes de santé soient mis en avant et ridiculisés.
Mon texte est une approche satirique pour commenter la manière dont les médias couvrent les affaires de la famille royale britannique, en particulier la santé du roi Charles III. Cette satire n'a pas pour but de me moquer des personnes souffrant de maladies graves. Je souligne, au contraire, la tendance des médias à amplifier les événements concernant la royauté, parfois de manière théâtrale ou exagérée, ce qui peut détourner l'attention de la gravité réelle de tels problèmes de santé ou d'autres problèmes que la santé. ON EN FAIT TOUT UN PLAT.
Mon texte imagé, tels que la lutte contre une "forme de crabe" ou les descriptions d'examens médicaux, ne vise pas à minimiser l'importance de la santé de Charles III mais à critiquer la manière dont ces sujets sont traités publiquement. Mon texte met en évidence la nature universelle de la maladie, rappelant que personne n'est à l'abri, tout en dénonçant l'emballement médiatique qui peut parfois entourer ces événements.
L'objectif sous-jacent est de provoquer une réflexion sur notre consommation des nouvelles et sur la manière dont les infos sont présentées et perçues. La satire, en exagérant certains aspects de la réalité, offre une perspective critique sur le spectacle médiatique et invite à considérer avec plus de sérieux et d'empathie les épreuves personnelles des individus, même lorsqu'ils appartiennent à des institutions aussi scrutées que la monarchie anglaise.
