J'ai reçu la lettre Directe Santé, et comme je suis bonne copine, je partage.
Les heureux esclaves de chat ( dont je suis ) vont être contents de ces bonnes nouvelles.
Quant aux autres, pas de souci, des solutions alternatives existent.
Il y a en France, 11 millions de soignants prêts à venir en aide aux personnes qui souffrent.
Ce sont les chats avec leur technique de soin, le ronronnement.
Voilà l’approche développée depuis des années par le vétérinaire Jean-Yves Gauchet, qui a mis au point
une « ronronthérapie » apaisante, qui agirait comme un médicament sans effet secondaire ! Il explique :
" lorsqu’on étudie le spectre sonore d’un chat qui ronronne, on voit apparaître principalement des sons très graves,
étagés sur des fréquences de 25 à 50 hertz. Ces "basses" permettent de provoquer des émotions ".
Des médecins orthopédistes et des kinés ont utilisé l'action de ces fréquences pour consolider
des fractures ou soigner des arthroses délabrantes.
Avec pour résultats une accélération du processus de cicatrisation, de création de tissus nouveaux.
En un mot, ces basses fréquences auraient une action anabolisante.
« A fracture égale, le chat se rétablit 3 fois plus vite que tout autre animal. » explique Véronique Aïache
dans son livre La Ronronthérapie. Écouter le ronron du chat entraîne une production de sérotonine,
l'hormone du bonheur, impliquée dans la qualité de notre sommeil et de notre humeur.
« C'est un puissant antistress, régulateur de la tension artérielle, booster des défenses immunitaires et soutien psychomoteur ».
Les " ronronautes " qui relatent leurs impressions font l’état d’amélioration intéressantes :
• Effet très net sur l'endormissement.
• Relaxation profonde.
• Diminution immédiate et notable du stress.
• Activation de la circulation d'énergie avec picotements typiques dans les paumes de la main et des pieds.
L'écoute doit se faire au calme, à faible intensité, le mieux étant d’utiliser un casque.
Sur internet, de très nombreuses séances de ronron sont offertes par Pastel, Rouki, Minou...
Voici un lien si vous voulez essayez dès maintenant :
Une étude parue dans Lancet a montré que la musique est une thérapie d’accompagnement utile
en cas d’opération chirurgicale : après avoir compilé 73 études sur près de 7 000 patients,
les chercheurs ont conclu que la musique réduit la consommation de médicaments sédatifs
pour s’endormir avant l’opération et qu’elle permet aux patients opérés de consommer moins d’anti-douleurs.
En France, certains hôpitaux comme le Val de Grâce à Paris, utilisent même la musique en cancérologie.
À l’hôpital Sainte Périne à Paris aussi en soins palliatifs pour atténuer la douleur des malades en fin de vie.
Ce projet, poétiquement baptisé le « pansement Schubert », permet à chaque patient en attente d’un soin douloureux
de bénéficier d’un accompagnement musical. La réduction des douleurs a pu atteindre jusqu’à 50 % !
Un groupe de musiciens s’est récemment associé à des scientifiques pour créer la « musique la plus relaxante au monde ».
« Comme votre rythme cardiaque a tendance à s’ajuster au tempo de la musique, le morceau commence
à un rythme de 60 BPM pour descendre progressivement, autour de 50, ce qui fait baisser rythme cardiaque et tension artérielle.
L’écart entre les notes (les intervalles harmoniques) a été choisi pour créer un sentiment d’euphorie et de confort.
Et il n’y a pas de « refrain » ou de mélodie qui se répète, ce qui permet à votre cerveau de vraiment déconnecter,
sinon il essaie de prévoir ce qui va arriver ! Ce morceau provoquerait même une baisse de l’anxiété de 65 % ».
A écouter ici : .
Gabriel Combris - Email envoyé par : Editions VivaSanté -
Bonus que je suis allée chercher sur le net :
Que préférez-vous, la musique humaine ou le ronronnement du chat ? Ou aucune des 2, pourquoi pas.
Cela ne remplace pas les prescriptions médicales jugées nécessaires.
Je ne tiens pas à être accusée d'exercice illégal de la médecine .