Ça me dérange pas
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Les limites entre perception et interprétation
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
@bingo a dit dans Les limites entre perception et interprétation :
Ça me dérange pas
enfin un homme qui sait parler aux femmes
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Les limites entre perception et interprétation
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
@bingo a dit dans Les limites entre perception et interprétation :
Haha je suis une femme ️
c'était trop beau en effet ça ne pouvait pas être possible
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Les limites entre perception et interprétation
@bingo Bon, tu esquives volontairement ma question.
Je vais désactiver volontairement les notifications sur ce thread, il sera inutile de me pinger, je ne verrai pas vos sollicitations. -
Les limites entre perception et interprétation
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
@bingo a dit dans Les limites entre perception et interprétation :
Haha je suis une femme ️
Je suis pas lesbienne . Y'a malentendu
j'avais pas vu la 2eme partie, moi non plus je ne suis pas lesbienne, oh! la la ! non ! je croyais que tu étais un homme
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Les limites entre perception et interprétation
@orabig
Bah j’exprime mon point de vue sur ce qu’est la perception et l’interprétation en donnant une définition puis des exemples pour illustrer. Enfin, je reprends la situation exposée au départ en décortiquant pour que ce soit clair. Que je me répète ou pas c’est ton avis et ça n’a que très peu d’importance au regard de la question posée. Dans tous les cas, je répond à la question de départ, c’est juste et je n’ai absolument pas besoin que l’on me reprenne.Pour ce qui est de la psychopathie, y’a les informations que l’on retrouve dans la littérature scientifique : DSM V, livres de psychologie et psychiatrie etc. Et la vision qu’ont les gens en général, les films etc., n’a rien-à-voir avec la pathologie. Je pense qu’il est important de savoir de quoi on parle surtout sur un sujet aussi complexe.
- incapacité à se conformer aux lois et normes sociales
- tendance à tromper par profit ou par plaisir (indiquée par des mensonges répétés, l’utilisation de pseudonymes, des escroqueries)
- impulsivité ou incapacité à planifier à l’avance
- irritabilité ou agressivité (indiquées par la répétition de bagarres ou d’agressions)
- mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d’autrui
- irresponsabilité persistante (indiquée par l’incapacité d’assumer un emploi stable ou d’honorer des obligations financières)
- absence de remords (indiquée par le fait d’être indifférent ou de se justifier après avoir blessé, maltraité ou volé autrui)
Un psychopathe est très intelligent, souvent un QI supérieur à la moyenne. Il comprend les lois mais les contournent, est un petit peu comme sur un fil à ce niveau-là. Il joue avec ça. Rien à voir avec la personnalité antisociale. Il est capable d’empathie mais pas de sympathie. L’autre est souvent instrumentalisé pour arriver à ses fin.
Je ne suis pas spécialisée dans le champ de la psychopathie, je peux faire quelques recherches sur le sujet de mon côté si vous le souhaitez. Histoire de me documenter aussi.
| dernière édition par Miliam Réputation: 976 | Messages: 649 -
Les limites entre perception et interprétation
Hello!!
Ah bien, je me pose plusieurs questions:
Quelles sont les différences entre un pervers narcissique, un sociopathe et un psychopathe ?
Un psychopathe ce fait violenté à l'extrême physiquement, sexuellement, moralement avant de devenir mauvais. Effet papillon! Quand tu te fais maltraité, t'as une hormone sécrété qui te procure du plaisir à ce qu'on te fasses du mal. Y'a t'il une hormone sécrété lorsque tu tue ? Est ce la même ? Cherche t'il inconsciement à retrouver le plaisir qu'il avait à ce faire maltraiter en maltraitant les autres ?
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
Alors… le pervers narcissique est une classification psychanalytique. Il n’apparaît pas dans la classification psychiatrique tel que le DSM V. Notamment parce-que cela fait débat et pour certains professionnels de la santé cela n’existe pas. Pour d’autres si.
En théorie, le pervers narcissique fait partie de la classification des perversions. Dans cette classification psychanalytique, on retrouve deux types de pervers : le sexuel (qui apparaît dans le DSM) et le narcissique.
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Le pervers sexuel regroupe les exhibitionnistes, voyeurisme, frotteurisme, masochisme, sadisme, pédophilie, fétichisme et transverstisme. C’est une déviation par rapport à l’acte sexuel normal. Il a besoin de l’autre pour « jouir » mais dans le sens psychanalytique du terme.
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Le pervers narcissique, lui, est assez égocentrique et a une haute estime de lui. Il n’a pas d’empathie pour les autres et les instrumentalisent pour « jouir ». Leur capacité d’aimer l’autre est déficiente. Un coup il est fort sympathique et agréable, une autre fois pour x raison vous êtes limite la pire personne qu’il a rencontré et cherchera à vous détruire. Il manipule beaucoup et utilise des mécanismes d’emprise. Souvent il se tourne vers des personnes fragiles, détruit le psychisme de l’autre, joue sur les non-dits, le doublé-sens des mots, ment, insinue etc. Mais dénie la réalité pour se protéger des souffrances. La faute est niée, banalisée, rejetée sur les autres. Il n’y a pas de conflit pour lui. Et peut aussi se placer en victime. Les relations sont souvent sous emprise, assujettissement et asservissement.
Ce qui est problématique c’est que le terme pervers narcissique est devenu un véritable fourre-tout. Ce n’est pas parce-qu’on a été avec quelqu’un de toxique qu’il est forcément pervers narcissique. Un mari violent n’est pas forcément pervers narcissique etc. Ça rejoint finalement le post de départ : les limites entre perception et interprétation.
Pour les psychopathes, je l’ai expliqué plus haut.
La différence entre psychopathes et sociopathes est très fine, porte à confusion. Ce qui les rassemble c’est un désintérêt pour les lois et normes sociales, pour les droits des autres, une absence de remords ou de sentiment de culpabilité, ainsi qu’une tendance à un comportement agressif.
Les sociopathes seraient plus émotionnels. Par exemple ils auraient tendance à être plus nerveux, ont souvent des crises de colères, au niveau social et culturel c’est assez bas. C’est compliqué pour eux d’avoir un travail stable dans le temps. Ils n’est pas facile de former des liens avec les autres même si ce n’est pas totalement impossible. Les crimes et délits seraient plus désorganisés et improvisés.
Les psychopathes, eux, planifient et manquent d’empathie. Enfin selon un de mes profs, ils ont de l’empathie mais pas de sympathie. Ils sont incapables de créer des liens. Ils charment souvent qui fait que ça leur permet de manipuler les autres. Ils sont intelligents, ont un travail stable, plutôt une bonne place dans la société. Ils contrôlent leurs émotions. Ils sont plutôt froids et calculateurs.
Il est difficile de faire des généralités sur ces personnes atteintes de ces pathologies. Notamment sur leur histoire et comment ils en arrivent là. C’est au cas-par-cas. Qu’est-ce qui fait qu’on va avoir telle pathologie et pas d’autres ? C’est encore une question qui n’est pas complètement résolue dans le domaine de la Psychologie. L’inné, l’acquis ? L’environnement, la personnalité, l’histoire familiale, les comportements de la famille etc. Beaucoup de choses jouent dans notre développement en tant qu’individu.
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Les limites entre perception et interprétation
Et sur le plan hormonal ? Y a t'il une sécrétion hormonal de '' plaisir'' comme une drogue lorsque le psychopathe cherche à tuer, traquer ? Tu as parlé d' amusement comme un jeu ça ok, mais est ce physiologique ?
Tu as dit que certaines personnes sont prédisposées à devenir mauvais, ça peut-être inné. Cependant, j' ai vu sur un autre poste et j'ai vérifié sur internet, que les neuroscientifiques ont analysé le cerveau des bébés et qu'aucun d'entres eux n'est aggréssifs de naissance. (J'ai vu aussi qu'on avait tous le même potentiel intelectuel au départ, hs au poste mais intéressant de le savoir.)
Les études sont prouvées, serait-ce héréditaire ?
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
Sur le plan hormonal, je ne sais pas. Par contre, je n’ai jamais parlé d’amusement en ce qui concerne les psychopathes. Et tous les psychopathes ne passent pas forcément par la case criminalité. Parler des délits c’est important aussi. Le psychopathe ce n’est pas le grand méchant sadique comme dans les films. C’est des stéréotypes et en aucun cas la réalité.
Également, je n’ai jamais dit que certaines personnes sont prédisposées à devenir mauvais. J’ai expliqué que certaines personnes, en fonction de plusieurs facteurs (inné, acquis, famille, personnalité etc.) ont des facteurs de risque d’avoir une pathologie. Pathologie ne veut pas dire mauvais même dans le cas de la psychopathie. La notion de mauvais renvoi aux ressentis, au jugement. Là, je me dégage de tout jugement de valeur. Je n’ai pas parlé de facteurs de risque dans mon message précédent mais ça allait en ce sens. Je n’ai peut être pas été assez claire. En tout cas, cela reste des facteurs de risques et en aucun cas une fatalité. Certaines personnes ne déclareront jamais une pathologie mentale alors qu’ils avaient les facteurs de risque. Les professionnels parlent parfois de résilience par exemple, ou encore des ressources internes des personnes. Dans certaines pathologies, y’a des transmissions familiales à différents aspects et pas que au niveau de l’héréditarité. Y’a des personnes qui déclarent une pathologie mais y’a déjà des facteurs de risques qui peuvent être pris en compte quand on voit le fonctionnement familial par exemple. Mais ça ne veut pas dire que ces personnes vont déclarer une pathologie. Par contre, dans la psychopathie il me semble que y’a des facteurs héréditaires en effet. Après, la psychopathie ne relève pas de mon domaine de compétence donc je ne peux pas affirmer ou infirmer grand-chose. Mais ramener à des fondamentaux et savoirs que j’ai acquis dans ma formation.
En fait, il y a le diagnostic de psychopathie mais il y a aussi la personne que l’on rencontre. Une pathologie ne définit par une personne et il ne faut pas, à mon sens, la déshumaniser peu importe la pathologie. Y’a une histoire de vie derrière qui explique le pourquoi du comment une personne est comme ça. Et ça peut parfois paraître tabou vis-à-vis du grand public mais c’est une réalité de terrain des professionnels de la santé qui travaillent dans la champ de la pathologie mentale.
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Les limites entre perception et interprétation
Merci Miliam pour toutes ses explications ️️.
J'ai pas créé ce poste pour rien ! J'ai appris plein de choses.On a parlé de la perception et des interprétations, des naïfs et des psychotiques, psychopathes...
Toute est liée à une mise en situation que je vais écrire ce soir ou demain ️ -
Les limites entre perception et interprétation
@miliam a dit dans Les limites entre perception et interprétation :
Alors… le pervers narcissique est une classification psychanalytique. Il n’apparaît pas dans la classification psychiatrique tel que le DSM V. Notamment parce-que cela fait débat et pour certains professionnels de la santé cela n’existe pas. Pour d’autres si.
En théorie, le pervers narcissique fait partie de la classification des perversions. Dans cette classification psychanalytique, on retrouve deux types de pervers : le sexuel (qui apparaît dans le DSM) et le narcissique.
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Le pervers sexuel regroupe les exhibitionnistes, voyeurisme, frotteurisme, masochisme, sadisme, pédophilie, fétichisme et transverstisme. C’est une déviation par rapport à l’acte sexuel normal. Il a besoin de l’autre pour « jouir » mais dans le sens psychanalytique du terme.
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Le pervers narcissique, lui, est assez égocentrique et a une haute estime de lui. Il n’a pas d’empathie pour les autres et les instrumentalisent pour « jouir ». Leur capacité d’aimer l’autre est déficiente. Un coup il est fort sympathique et agréable, une autre fois pour x raison vous êtes limite la pire personne qu’il a rencontré et cherchera à vous détruire. Il manipule beaucoup et utilise des mécanismes d’emprise. Souvent il se tourne vers des personnes fragiles, détruit le psychisme de l’autre, joue sur les non-dits, le doublé-sens des mots, ment, insinue etc. Mais dénie la réalité pour se protéger des souffrances. La faute est niée, banalisée, rejetée sur les autres. Il n’y a pas de conflit pour lui. Et peut aussi se placer en victime. Les relations sont souvent sous emprise, assujettissement et asservissement.
Ce qui est problématique c’est que le terme pervers narcissique est devenu un véritable fourre-tout. Ce n’est pas parce-qu’on a été avec quelqu’un de toxique qu’il est forcément pervers narcissique. Un mari violent n’est pas forcément pervers narcissique etc. Ça rejoint finalement le post de départ : les limites entre perception et interprétation.
Pour les psychopathes, je l’ai expliqué plus haut.
La différence entre psychopathes et sociopathes est très fine, porte à confusion. Ce qui les rassemble c’est un désintérêt pour les lois et normes sociales, pour les droits des autres, une absence de remords ou de sentiment de culpabilité, ainsi qu’une tendance à un comportement agressif.
Les sociopathes seraient plus émotionnels. Par exemple ils auraient tendance à être plus nerveux, ont souvent des crises de colères, au niveau social et culturel c’est assez bas. C’est compliqué pour eux d’avoir un travail stable dans le temps. Ils n’est pas facile de former des liens avec les autres même si ce n’est pas totalement impossible. Les crimes et délits seraient plus désorganisés et improvisés.
Les psychopathes, eux, planifient et manquent d’empathie. Enfin selon un de mes profs, ils ont de l’empathie mais pas de sympathie. Ils sont incapables de créer des liens. Ils charment souvent qui fait que ça leur permet de manipuler les autres. Ils sont intelligents, ont un travail stable, plutôt une bonne place dans la société. Ils contrôlent leurs émotions. Ils sont plutôt froids et calculateurs.
Il est difficile de faire des généralités sur ces personnes atteintes de ces pathologies. Notamment sur leur histoire et comment ils en arrivent là. C’est au cas-par-cas. Qu’est-ce qui fait qu’on va avoir telle pathologie et pas d’autres ? C’est encore une question qui n’est pas complètement résolue dans le domaine de la Psychologie. L’inné, l’acquis ? L’environnement, la personnalité, l’histoire familiale, les comportements de la famille etc. Beaucoup de choses jouent dans notre développement en tant qu’individu.
Il y une bonne partie de la population qui est comme ça !!! C'est quoi être normal du coup. Déjà un enfant charme ses parents pour avoir un bonbon, il manipule déjà, il charme , il joue sur les émotions. Il hurle et pleure quand il se fait mal et avec le petit bisou de maman c'est fini. C'est quand qu'on est des détraqués finalement ?
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Les limites entre perception et interprétation
Je t’en prie, avec plaisir. Ça m’a permis de réviser un peu certaines notions que j’utilise peu ah ah. Donc merci à toi de poser ces questions.
C’est une très bonne question que tu dégages. C’est la distinction entre ce qui est normal et pathologique et ce n’est pas toujours évident à dissocier. C’est pour ça que tu as des professionnels de la santé qui sont là car ils sont formés à faire ce distinctif avec les connaissances obtenues dans leurs formations.
Qu’est-ce qui va distinguer une personne qui a une dépression, d’une autre qui fait une déprime par exemple ? À ça, je peux répondre déjà, l’intensité, la symptômatologie. Être déprimé ne veut pas dire être dépressif. Être déprimé c’est passager, la dépression est une maladie qui dure dans le temps et est plus intense, elle engage pleins de choses chez la personne (cognition, perception, émotions, physique, somatique, psychisme, sommeil, idées noires etc.) qui sont affectées dans son quotidien.
Dans ton exemple, un enfant charme ses parents pour voir un bonbon, il manipule déjà car il peut jouer sur les émotions, il hurle, il pleure quand il se fait mal et hop avec le bisou c’est fini. Mais… c’est un enfant. Qui n’a jamais essayé d’obtenir quelque chose de ses parents en jouant sur les sentiments ? Cela fait partie aussi du processus de développement chez l’enfant. On manipule tous d’une certaine manière. La différence va se jouer sur le degré, l’intensité, la récurrence etc., et puis aussi sur les connaissances que l’on a lorsque l’on est professionnel de la santé.
C’est sûr que quand on lit le DSM, on peut tous se retrouver dedans et c’est ce qui lui est aussi reproché. C’est pour ça que le psychiatre comme le psychologue ne se base pas uniquement sur celui-ci, sur les critères diagnostics mais bel et bien sur un ensemble de connaissances scientifiques acquises sur le sujet au cours de sa formation (et de ses formations car un professionnel de la santé se doit de se former au cours de sa vie pour être « à la page ») qui lui permet de déterminer si oui ou non la personne est dans une pathologie mentale.
| dernière édition par Miliam Réputation: 976 | Messages: 649 -
Les limites entre perception et interprétation
Je sens comme une pointe d'ironie . J'imagine que tu vois souvent ce type de patient ! D'ailleur, petite question:
Y'a t'il un taux plus élevés de sociopathes, psychopathe à notre époque/ dans notre société? Si oui, tu sais pourquoi ?
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
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Ce message a été supprimé !| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220 -
Les limites entre perception et interprétation
C'est marrant je me trouve moi même derangeant et dérangé . La question est simple, c'est une question qui porte sur les Requins et les poissons. D'ailleur c'est un poste sur le psychisme humain.
Hornet, ne te permets pas de me parler comme ça, je crois que j'ai vu que dans la charte, il fallait respecter les gens ️. Tu en as banni pour moin que ça
| dernière édition par Bingo Réputation: 69 | Messages: 220