L’équipe éditoriale se réunit pour rendre hommage à Arthur Howitzer Jr, décédé brutalement pour clore The French Dispatch selon ses souhaits.
On trouve que le film fourmille d’idées intéressantes et que l’actrice la plus mise en valeur est sans conteste Léa Seydoux avec son rôle de Simone, Muse d’un artiste meurtrier, gardienne de prison.
Le film est divisé en rubriques pour sa structure, ce qui sépare le film en différentes histoires d’une manière intéressante le lien étant fait par le personnage d’Arthur.
On regrette cependant l’histoire des personnages de Frances McDormand et Timothée Chalamet qui est inutile et juste là pour donner une controverse qui m’a bloquée finalement et c’est dommage.
L’émotion est là certes, avec une qualité d’écriture du scénario bien présente, mais le plus remarquable est sans aucun doutes la perfection des décors fantastiques. On comprend pourquoi les acteurs répondent présent pour Wes Anderson qui sait créer des univers sans limites avec une expertise en photographie. Le bilan restant très mitigé en fin de compte.
Bande-annonce :