@kaonashi : l'alignement, oui, je l'ai envisagé avec d'autres mots dans mon précédent com :
" se mettre dans l'état d'esprit de : " je suis bien ( dans le sens de serein ), ouvert à ce que la Vie pourrait me proposer de bon. "
si notre envie profonde est de se sentir bien malgré ça, il faut pouvoir changer la vision dont on a de cette chose qui nous frustre..je sais que j’ai la maîtrise de ma vie.
Si c'était si facile, tout le monde l'appliquerait car personne n'aime souffrir.
Mais s'il y a bien une partie de nous qu'il est très difficile de maîtriser, c'est bien notre émotionnel.
Il faut du temps pour parvenir à la résilience de ce qui nous a profondément blessé,
de réaliser la " catharsis du chagrin ", selon l'expression consacrée.
https://www.bdtheque.com/series/15047/catharsis
Dans un 1er temps, il faut laisser s'exprimer la colère : elle a des choses à nous dire,
mais pas sur le dos de l'autre, hein, ça ne ferait qu'aggraver la situation.
On le fait en son for intérieur, mais il ne faut pas que ça tourne à la rumination non plus, elle ne fait pas avancer le schmilblick.
Une fois cette étape réalisée, on peut alors aborder la 2e : relativiser et dédramatiser.
Car tout est éphémère en ce bas monde, nos peines ne survivent que si on les laisse vivre en nous.
La 3e étape, c'est le lâcher-prise des frustrations quand on ne peut les combler.
Ici, je laisse la parole à Marc Aurèle, un philosophe que j'adore.