J'ai ouvert un roman et ce sera : signe
-
Décris-moi un mouton
Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux
| dernière édition par ytica Réputation: 1716 | Messages: 836 -
Décris-moi un mouton
J'ai ouvert le livre de vocabulaire allemand que je révise actuellement : je suis tombée sur le mot "Nachricht" --> soit le mot "Message".
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
| dernière édition par Artelise Réputation: 6904 | Messages: 4168 -
Décris-moi un mouton
Fu Manchu, ça compte pas alors j'ai -aguets
Tiens bonjour DelnisAmi(e)s du jour, bonjour.
Ami(e)s du soir, bonsoir| dernière édition par Leitmotiv Réputation: 769 | Messages: 402 -
Décris-moi un mouton
@kachina ooOOoolàlà, j'ai le mal de mer, ça mooonte, ça desceeeennt
Ami(e)s du jour, bonjour.
Ami(e)s du soir, bonsoir| dernière édition par Leitmotiv Réputation: 769 | Messages: 402 -
Décris-moi un mouton
"Vous avez un message !"
Mon clavier aux aguets
D'une touche caressée
D'une lettre éffleurée
D'un signe bien placé
D'un message composéDans le virtuel le transporter
Par l'espace et le temps voyager
Sur son écran affichés
Mes mots, mes sentiments exprimés
Mes émotions binaires
Réalité sincèreAmi(e)s du jour, bonjour.
Ami(e)s du soir, bonsoir -
Décris-moi un mouton
Rester aux aguets de l’espace autour de vous. Au moindre signe de navire, il faut trouver un moyen de leurs faire signe. Leur donner le message qu’ils doivent nous transporter vers la réalité.
Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
-Victor Hugo| dernière édition par Spillway Réputation: 3238 | Messages: 1508 -
Décris-moi un mouton
@leitmotiv un mal de mer qui te va bien finalement
@spillway : toujours prête, aux aguets, et réactive. Ca c'est bien ! -
Décris-moi un mouton
Comme suis en vacance à partir de lundi, je serai moins présent
J'en mets un autre (plus personnel) pour la routeP'tite tête de pioche, qu'a rien dans la caboche
Les bêtises de gamin, c'est la faute aux copains ?P'tite tête de con, d'ado avorton
Qu'a ramené les flics à la maison
Fils indigne, c'était mauvais SIGNE
Mais t'as pas compris le MESSAGE, t'es pas resté sage
Si t'as volé, c'est la faute à la société ?
La connerie aux AGUETS, t'as recommencé
Pour TRANSPORTER ces paquets, fallait être discretP'tite tête de majeur, qui assume ses erreurs
Qui ancre ses deux pieds, dans la REALITE
Rêvant de grands ESPACES, faut bien qu' jeunesse se passe
Il était temps de t' prendre en main, t'es plus un gaminJ'en ai fait voir de toutes les couleurs, à mes parents travailleurs
Ami(e)s du jour, bonjour.
Ami(e)s du soir, bonsoir -
Décris-moi un mouton
@leitmotiv T'as vraiment été ce very bad boy ?
En tous les cas , merci d'avoir dévoilé ce pan de ta vie en poésie.
J'en profite pour te souhaiter de bonnes vacances certainement bien méritées
PS : Avant de fermer ta valise, penses à vérifier si tu as bien mis tes comprimés contre le mal de mer .A bientôt !
| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
Décris-moi un mouton
@kachina C'était quand même pas les banlieues de maintenant avec armes, c'était surtout des petits trafics et quelque vols sans violences
Oui j'ai mes pilules et ma bouée jaune à tête de canardAmi(e)s du jour, bonjour.
Ami(e)s du soir, bonsoir -
Décris-moi un mouton
Après mure réflexion, mon cerveau a guidé mes doigts sur le clavier et voici ce qui est apparu sur l'écran...
Qui avait bien pu transporter cette voiture au milieu de nulle part ? Le groupe de randonneurs s’approcha du véhicule noir et l’un d’eux regarda à l’intérieur. Personne. Le chef de groupe fit signe de continuer et les marcheurs repartirent sur le chemin de terre.
Occupé à lire un message sur son téléphone, Gérard était resté en retrait.
Soudain, une voix se fit entendre :
-Aidez-moi…
Gérard leva le nez de son téléphone et écouta.
-Aidez-moi s’il vous plait, disait une toute petite voix…
Mais non il ne rêvait pas, il avait bien entendu. Tous ses sens aux aguets, il regarda autour de lui, mais le vaste espace qui l’entourait était totalement désert à part ses amis qui s’étaient éloignés.
-S’il vous plait, je vous en prie !
Cette fois il avait bien entendu, et la voix provenait de cette voiture. Il retourna sur ses pas et s’approcha. La voix se fit encore entendre :
-Sortez-moi de là, s’il vous plait…
Mais Gérard avait beau regarder dans la voiture dont les vitres étaient fermées, il ne voyait personne, à part une abeille qui se promenait sur la vitre à l’avant.
-Faites-moi sortir de là ! dit de nouveau la petite voix, avec insistance cette fois.
Gérard était dubitatif. Il fit le tour du véhicule et revint vers la vitre où s’agitait le petite abeille.
-Ouvrez-moi, je dois retourner à ma ruche !! je vais mourir dans cette voiture surchauffée, le chauffeur a fermé les vitres et je ne peux plus sortir !!
Gérard ouvrit tout grand les yeux, poussa un cri et s’enfuit pour rejoindre ses amis qui l’attendaient un peu plus loin. Non, les abeilles ne parlent pas, tout le monde sait ça. Gérard se dit que sans doute le soleil lui avait trop tapé sur la tête et se promit de vite oublier tout ceci.
Restée seule dans la voiture, l’abeille était tombée sur le siège, sous le volant. Elle rendit sa petite âme, abandonnée de tous. Parfois, la réalité peut paraître impossible à croire...Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux
| dernière édition par ytica Réputation: 1716 | Messages: 836 -
Décris-moi un mouton
Être transporter dans les confins des mondes imaginaires, en oublier l’espace aux alentours. Jusqu’à ce que ce message fit son apparition, oublions ce merveilleux monde des songes, il est l’heure de regarder et de faire face à la réalité.
La notification avait comme titre « Réunion annulé ». Il était 4heure57 du matin et elle c’était réveillée au son de cette notification, 3 minutes avant son réveil matinal. C’était le signe qu’elle pouvait abandonner son avant-midi dans les rêves. Elle mis son cellulaire sur ‘ne pas déranger’ et referma les yeux, elle n’avait plus de raison de rester au aguets pour aujourd’hui.Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
-Victor Hugo -
Décris-moi un mouton
Bin non, il n'y a pas que de belles histoires d'amour où amour rime avec toujours. Qui n'a jamais connu la fin d'une belle romance, ne serait-ce que celle des 1ers émois de l'adolescence...pour ensuite renaître dans une nouvelle aventure plus aboutie ?
Le post-it collé sur la porte du frigidaire était on ne peut plus clair, il tenait en seulement 3 mots : adieu, bon vent.
L'espace d'un instant, il avait eu un doute que ce soit vraiment vai.
Non, ce n'était pas possible, elle ne le ne quittait pas, et puis, pas comme ça !
Il y avait pourtant eu des signes avant-coureurs de sa lassitude, mais il fallait être aux aguets pour percevoir les messages subliminaux qu'ils envoyaient.
Voilà : elle était partie, sans un dernier regard, sans plus d'explication, pour transporter ailleurs tout ce qu'il aimait d'elle, même ses moues boudeuses quand elle était contrariée.
" Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ", disait Mme de Sévigné. En ce jour funeste, il découvrait combien cette seule phrase résumait si bien le sentiment de néant qui maintenant le noyait dans un vide abyssal.
Complètement hébété, il regardait l'intérieur de son armoire vidée de tous ses vêtements.
Cette vision le ramenait à la réalité, à une vérité qu'il aurait voulu maquiller de fards avec des couleurs comme le vert de l'espoir ( elle reviendra ), le rouge de la passion ( elle m'a dans la peau, non? ), le rose de la tendresse ( elle savait être si maternelle parfois ), le bleu de l'infini ( leur amour ne peut être qu'éternel )...
Mais il n'y en avait que 2 à sa disposition : le jaune de la trahison et le noir du deuil qu'il allait devoir vivre devant la mort de cet amour qui fut et qui n'est plus.
Mais qu'il était donc atrocement douloureux de tourner la dernière page de ce chapitre du roman de sa vie !| dernière édition par ayamé Réputation: 14914 | Messages: 11165 -
Décris-moi un mouton
@kachina a dit dans Décris-moi un mouton :
Aguets - Espace - Message - transporter - Signe - Réalité.
Tous les matins, lorsqu’elle franchissait le seuil de son appartement, Lucie avait l’impression de franchir une sorte de portail inter-dimensionnel. Le temps et l’espace étaient respectés, mais pas la "réalité". Dans le monde dans lequel ce portail ne cessait de la transporter, les gens utilisaient un langage complexe qui utilisait leur corps comme vecteur et composé d’indénombrables signes et lorsqu’ils utilisaient les mots, ils usaient parfois une sorte de langage crypté qui mettaient une distance entre ce qu’ils pensaient et ce qu’ils disaient.
Lucie n’avait jamais été douée pour voir les signes du langage corporel et lorsqu’elle parvenait à les voir, elle ne les comprenait pas toujours, ou alors, elle les comprenait des travers. Et c’était pire avec le second degré, l’ironie ou le sarcasme. Alors, lorsqu’elle sortait de chez elle, elle s’efforçait de se mettre dans un état de vigilance extrême. En permanence aux aguets, elle faisait de son mieux pour détecter les signes, et essayer de déterminer si ce qu’on lui disait appartenait au sens premier ou au second degré.
Le problème, évidemment, c’est que malgré ses épuisants efforts, il lui arrivait encore souvent de passer à côté du message qu’on cherchait à lui faire comprendre ou de le comprendre, mais trop tard. Trop tard pour rire à la blague que son collègue venait de faire ; trop tard pour répondre sans paraitre stupide ou donner l’impression de faire preuve de mauvaise foi ; trop tard pour répondre tout court.
Alors, elle se faisait discrète. Acceptait qu’on la considère comme quelqu’un de timide. Et souffrait en silence qu’on la trouve insociable alors qu’elle aurait tant aimé être capable de se mêler aux gens et de participer à leurs conversations avec naturel, entrain et, surtout, sans que cela lui demande des efforts permanents et épuisants.
Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions