@kachina je n'ai pas pu lire tous les textes avec toute l'attention qu'ils méritent aussi je m'en excuse mais je vais le faire

@steam-punk j'aime ta réponse . Merci. Mais je pense que tu as bien compris ce que je voulais dire. J'aime tout le monde ici .

@kachina si je lis systématiquement tous les textes il m'arrive d'oublier de liker parfois

Oulala ! j'ai peur de m'être mal exprimée. Je vous gronde pas . Suis pas la maîtresse d'école . Simplement, Je voulais juste vous rappeler qu'on est TOUS égaux et TOUS méritants ici , avec qq p'tits coups de coeur en plus .

@leitmotiv ; un oubli c'est vraiment pas grave . Détends toi ! je t'enverrai pas au piquet pour autant. Juste faire quelques lignes avec des mots choisis.

Puisqu'on en parle j'aime particulièrement les textes de Music et Artelise sur l'ambiance steampunk

@steam-punk celui d'artelise je double like

@steam-punk @Leitmotiv et ben voilà ! ça se sont des coups de coeur ! en plus !

et puisque nous en sommes aux aveux moi je double like @ayamé et @music.

on peut mettre combien de likes sur un seul texte ?

@steam-punk jusqu'à un triple et c'est bon . Notre capitaine , en tiendra compte
Les mots comptent autant que les chiffres

@steam-punk = j'aime bien
= j'aime beaucoup
= j'aime énormément

@steam-punk t'as tout bien compris! Tu risques d'être capitaine toi, un jour .

@steam-punk =j'aime pas du tout
Mais j'en ai encore jamais vu

@leitmotiv nous on préfère Journée Piscine !

Pas sur d etre a la hauteur de mon ambition initiale mais j y ai pris du plaisir le seul vrai but pour moi de ce topic et comme d habitude je partage ..... personnellement liker où pas peu importe chacun son libre arbitre mais le triple like je me le garde personnellement pour un classement quelque peu "symbolique "quant il y a trop d égalité entre vous ....

les dessous de l histoire

Le ronflement des machines et la chaleur tout était pesant une fois la nuit tombée. La ville entière était verdâtre au loin avec cette lumière artificielle .Un léger voile brumeux recouvrait l ensemble de la cité. Et lui donnait un air surréaliste au milieu d un paysage urbain classique des grandes agglomérations en plein essor.

L engrenage était vraiment à son paroxysme dans chaques usines, qu une ribambelle de travailleurs faisaient tourner jour et nuit
Léo était l un deux ,vêtu d un costume gris délavé, de chaussures parsemées de taches de cambouis et d une casquette assortie.
C etait l une des fourmies ouvieres parmi tant d autres ,hommes, femmes enfants de plus d un mètre de haut ,tous se ressemblaient avec leur teints blafards et leurs yeux rougis .
Ils travaillaient tous sans relâche du lundi au dimanche, un nombre d'heures incalculables pour un salaire de misère dans le froid où la chaleur excessive suivant la saison.

Ce printemps s annonçait identique à tous les autres et pourtant une nouvelle effervescence venait du fond des hauts fourneaux et une rumeur s amplifiaiit au fil des jours depuis l accident tragique où 31 ouvriers avaient été brûlés vifs dans cet incendie prévisible .
Depuis la colère grondait et c est là que léo jeune paysan arrivé en ville depuis peu, prend son importance,c est lui qui souffait à l'oreille des ouvriers de la métallurgie depuis cet hiver des mots tels que :
Droit des travailleurs, salaires plus élevés, interdiction de travaillers avant l age de 14 ans ,contrats de travail, plus équitables ......
La fournaise était le post le plus difficile, il y travaillait depuis son arrivée dans la chaleur intense du métal en fusion, il comprenait la souffrance endurée et surtout le soir à la bougie il lisait accidument des ouvrages que l on se glissait sous le manteau entre deux pauses .
Le monde a la surface était flamboyant de nouvelles technologies ,les usines fleurissaient comme des champignons un peu partout c etait l air d un siècle nouveau, qui s offraiit au plus chanceux.

Mais pas de robes en mousseline délicates,pas de chapeaux avec des plumes d autruches pour tous ,l élite seulement buvait du Champagne et mangeait à sa faim ,.
Le temps etait a l éssort économique ,de nouvelles automobilistes fleurissaient devant la porte des plus riches .
Les rues ,les quartiers toute la ville se transformait à une rapidité incroyable mais surtout à la sueur et au travail acharné d un grand nombre d invisibles, de petites mains ,d ouvriers...

L événement de l l'année.sera sans aucun doute l exposition universelle qui sera célébrée en grande pompe par le tout Paris d'ici quelques mois alors la cité était sans dessus dessous pour ce parer de ses plus beaux atouts.....en attendant léo et ses amis se réunissent en secret attendant le temps du changement

Un brin d humour pour vous divertir de mon texte un brin pesant

@heidi : excellente idée d'évoquer " les temps modernes " .

Il serait bien que tu mettes en gras les 4 mots imposés comme nous le faisons ( ou en majuscules ) et non les 2 mots que tu as mis.

Après avoir longuement réfléchi et pesé le pour et le contre, j'ai décidé qu'à partir de maintenant, je likerai les textes une fois que je les aurais lu, afin de laisser une trace de mon passage et exprimer ma reconnaissance pour les différentes participations qu'elles soient à mon goût ou non. Ensuite, je ferais des commentaires plus personnalisés. Chacun sera libre de lire les commentaires qui leurs sont adressés ou non.

Steam-punk : heureusement qu'il y a la petite dernière phrase pour apporter un décalage et effectuer la bascule. Autrement, on serait restés, selon moi, dans le roman d'époque. J'aime bien l'humour discret que tu as su mettre dans ton texte. Le placement des mots est assez original.

Ayamé : j'avoue, j'ai longtemps hésité à valider ton texte. est-on bien là dans le steam-punk ou simplement dans le fantastique ? Ceci dit, j'aime l'utilisation que tu as fait du mot printemps. C'est en outre plutôt bien écrit, je trouve et introduit de belle façon un grand classique (qu'il faudrait d'ailleurs que je me procure).

Leitmotiv : l'humour à la limite de l'absurde, j'ai souri en lisant ton texte. Mais, a-t-on réussi à franchir le seuil du roman d'époque pour aller dans le steam-punk ? je n'en suis pas sûre.

Music : Ah !! les paradoxes temporels ! J'aime lorsque les auteurs se livrent à l'exercice périlleux qui consiste à s'y confrontrer... Je double like.

Heidi : Il est intéressant, ton texte. On y retrouverait presque l'ambiance oppressante de Germinal. Mais je n'arrive pas à voir où le steam-punk s'exprime. C'est dommage, je trouve.

@artelise tu as parfaitement raison oups ...manque le principal .

@artelise

C'est pourtant vrai que j'ai complètement zappé le coté steampunk désolé

J'ai bricolé quelque chose pour essayer de me rattraper

Dans la pièce, seuls les ENGRENAGES de l'horloge qui indiquait le quart de 15 heures, se faisaient entendre, ainsi qu'un chuchotement venant de derrière le lourd rideau

• "Holmes, que faisons nous ainsi camouflés, dans la bibliothèque de lady Althéa, par une si belle journée de PRINTEMPS ? vous ne m'avez encore rien dit !"
• "Des objet disparaissent mystérieusement, elle nous a engagé pour résoudre cette énigme"
• "Quel genre d'objets?
• "Un tableau représentant le portrait d'un jeune homme et une tour Eiffel miniature"
  Watson allait ajouté quelque chose, mais resta muet la bouche grande ouverte..
  Un cercle lumineux venait d'apparaitre au beau milieu de la salle, il scintillait, hésitant entre le jaune doré et le VERDATRE.
• "Dieu-du-ciel ! " souffla Watson au bord de l'apoplexie
  Un pieds chaussé d'une bottine surgit du cercle, puis un pantalon chino suivit d'une redingote et à l'intérieur, un petit bout de femme surmontée d'un chapeau haut-de-forme !
• "Remarquez, Watson, comme ses bottines sont lacées minutieusement !" murmura Holmes, aucun détail ne lui échappe, tout le monde le sait.
  La petite silhouette sautilla avec aisance jusqu'au bureau, se saisi d'un sablier cuivré qui soutenait un livre d'Oscar Wilde, et s'en retourna vers le cercle.
• "Maintenant Watson !"
  Les deux gentlemen surgirent de leur cachette d'un seul homme, mais se prirent les pieds dans le tapis et s'affalèrent l'un sur l'autre
  Après un clin d'oeil ,un sourire malicieux et l'exposition de son appendice lingual, la créature sauta vivement dans le cercle qui vibra et enfin disparut
  -"Watson, je vous défend de mentionner ces EVENEMENTS dans vos chroniques, vous m'entendez ,! et relevez vous, vous m'écrasez !"
  Le docteur lui souffla dans le cou "De toute façon, qui le croira ?"