@ayamé et ben ....on va avoir du mal a faire mieux
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@Lissilma on te compte
parmi nous maintenant 48h pour faire un texte ....un peu moins maintenant avant mercredi 9h -
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@Delnis a toi de voir pourquoi pas ....c est toujours un bonheur de te lire alors n hésite pas ,lance toi
Et toi comme tous cela fait longtemps que vous êtes plus des moussaillons
Sourit le capitaine à son équipage -
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@delnis je crois qu'on avait essayé avec le topic " un conte sans fin" et puis c'est tombé à l'eau rapidement.
Moi, honnêtement , j'aime bien le concept des 3 mots. Mais bon ce n'est que mon humble avis.
De toutes façons, là où il y aura de quoi écrire, cela me conviendra toujours -
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Bon voici mon deuxième texte, bonne lecture (enfin j'espère).
Doucement, la forme bougea. Cette chose était donc vivante? Jamais de mémoire de fourmi elle en avait vu de semblable. Cela ne ressemblait pas à un ver puisque cela avait quatre appendices de chaque côté du tronc, il ne s'agissait pas non plus d'un mille pattes! Pour la centième fois depuis qu'elle avait découvert la créature Pfiit s'interrogeait. L'odeur bien qu'atténuée semblait la même que celle des Grands-Pieds qui écrasaient nombres de ses soeurs et dévastaient parfois la fourmilière. Souvent quand les géants arpentaient le jardin après la pluie et de nombreuses piscines naturelles se formaient dans leur sillage. C'était dangereux de croiser le chemin de ces monstres! Perturbée par ces souvenirs Pfiit agita ses antennes et fit crissées ses mandibules. La chose s'agita de plus belle et écarta la feuille de pissenlit sous laquelle elle se dissimulait. Pfiit reconnu alors un insecte à deux pattes. Parfois de telle créature apparaissait dans le parterre des campanules violettes et finissait souvent dans le garde manger de la fourmilière, celui la ne ferait pas exception à la règle!
Dans le salon de la maisonnette qu'entourait un charmant jardin , un très vieil homme retira ses lunettes d'écaille. Sa vue n'était plus ce qu'elle était auparavant! Maintenant il devait avoir recours à cet artifice pour déchiffrer l'antique parchemin qui lui permettait de rendre justice. Sa justice. La loi des homme paraissait trop douce aux yeux de cette ancienne divinité tombée dans l'oubli.
Sa sentence à lui était impitoyable. Un sourire féroce éclaira la face ridée de l'aïeul quand il parcourut la une du journal posé sur la table tout près de lui. Un gros titre s'étalait : "Disparitions mystérieuses: Des malfrats de tous poils se volatilisent!"
Quelque part dehors un drame se jouait !
Cordialement| dernière édition par Lissilma Réputation: 1747 | Messages: 909 -
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@delnis a dit dans Décris moi .. un mouton :
Une idée comme ça: si on racontait une histoire et que le défi soit de la continuer ?
@kachina a dit dans Décris moi .. un mouton :
@delnis je crois qu'on avait essayé avec le topic " un conte sans fin" et puis c'est tombé à l'eau rapidement.
J'aime le principe d'une histoire courte avec 3 mots imposés.
Mais, @Delnis , rien ne t'empêche d'ouvrir un autre topic pour une histoire à continuer.
Peut-être qu'avec toi, ça marchera mieux.
Comme @Kachina , je serai partante pour un jeu de plus ;). -
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@ayamé non vous avez raison
je ne risque pas de rajouter encore de l'écriture car perso c'est vraiment pas mon point fort -
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@heidi : remercions les moustiques ! ils m'empêchent de dormir mais pas d'écrire.
L’été est bien là. . J’aime ce décor, j’aime cette chaleur. Assise sur le bord de mon transat, j’ai plaisir à observer ces enfants jouer gaîment sous ce ciel aussi bleu que l’eau de cette piscine. Les éclaboussures couvrent le bruit de leurs rires. Ils me mettent de bonne humeur. Je m’allonge et ferme les yeux Mon corps se détend et doucement mes pensées se diluent. Plongée dans un état de somnolence, les souvenirs tout à coup affluent , comme gravés dans un parchemin.
Enfants, nous venions souvent ici. Avant , ici, c’était un parc . Chaque samedi après midi, même si nous étions inconnus les uns des autres, nous nous retrouvions autour des balançoires ou du tourniquet. Plus grands, après le lycée, nous nous retrouvions toujours pour échanger, rager, refaire le monde , fumer en cachette , et nous embrasser aussi quand Cupidon avait joué son rôle au sein de notre groupe.
Nous étions trois filles et trois garçons. Sonia la rebelle, le garçon manqué , Adèle , l’intello, jamais sans ses livres, Hugo, le beau brun séducteur , Rafaël le je m’en foutiste, Diégo, le sang chaud, toujours prêt à se battre, et moi, Inès, accro à la danse , la musique et le vernis à ongles. Tout nous opposait , et malgré ce , nous étions devenus les meilleurs amis du monde.Le club des 6 non ! plutôt des 7 car dans ce décor, je ne peux pas oublier le souvenir de cette vieille femme , intemporelle, assise chaque samedi sur un banc , qui nous distribuait des sacs de bonbons lorsque nous étions enfants , qui ne manquait pas de nous réprimander sur les cigarettes que nous tenions en mains ou de se plaindre de l’inconscience de la jeunesse actuelle.
Avec nostalgie et poésie, elle aimait nous parler de ses jeunes années, de toutes ces valeurs qui lui avaient été inculquées. Nous l’écoutions vanter la couleur jaune de ce champ de pissenlits qui s’étendait à perte de vue derrière sa maison . Elle était drôle, fascinante . Elle était notre confidente, notre modèle. Elle était ses bras dans lesquels nous aimions nous réfugier. Et nous étions cette chaleur qui lui faisait défaut.Un jour, nos cigarettes à la bouche, nous l’avons attendue jusqu’à la fermeture du parc. Elle n’est jamais venue. Nous avons fini par comprendre qu’elle ne nous verrait plus jamais grandir.
Alors, dans un accord silencieux, nous avons déposé au pied de ce banc un bouquet de pissenlits et murmuré un au revoir.| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
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A @Delnis ...@leo
J ai 55 ans ,je me meurs doucement au milieu de mes richesses, je suis casi aveugle. J ai eu une vie hors du commun nous sommes au seizième siècle après Jésus christ .je laisse derrière moi de quoi subvenir au besoin de ma famille, que j ai après tout faut l avouer très peu connu .
Je suis un homme de le mer depuis tout petit ,je regardais partir les bateaux au bord du quai .je lisais des cartes marines comme d autres d anciens par parchemins. La je suis étendu sur mon lit de mort j ai traversé les mers depuis,j ai échangé avec des pays fort lointain fait commerce avec eux avec des objets de pacotille.
Mon regard est vide désormais il me reste une fleur de pissenlit coincé dans un livres de poèmes d amour non assouvi. Je me croyais être un homme puissant j ai eu l avale d une reine trois bateaux ,pour la première fois pour mon premier voyage, garnis d hommes et de vivres et de ces fameux objets .je suis parti le cœur vaillant, la foi collée à ma peau l épée dans son fourreau prête à service cette grande dame ,j ai tué en son nom .celui de marie et de cette reine au regard visionnaire.
Je souffle mes derniers soupirs je voudrais être en mer sur l'océan plus exactement et ressentir de nouveau la brise Marine. Mes forces me quittent je ne peux même plus serrer cette épée qui m a maintenant fois sauvée la vie .Mon commerce avec l Asie fut fructueux mais ce que j aimais paedessus tout c est la tempête la houle le crachin ,.les déferlantes qui se brisaient sur la coque du navire .
Mainte fois j ai scruté le ciel lu les étoiles dans les moments de doute de mon équipage dans les moments d égarement de ceux ci , dans les moments où ils avaient perdus la foi .
J ai ouvert une nouvelle voie pour aller en Asie la belle affaire ,après tout je n ai rien découvert que ce que je m attendais a voir depuis enfance une autre terre dans un pays fort lointain. J ai compris une chose seulement, je la confie à mes descendants mon nom est ma signature et il en est pour tout le monde ainsi !
J ai foi dorénavant plus en l homme a ses capacités qu a la sainte église mais je me tais j accepte la dernière oction ....j ai toujours su que la mer l ocean n etaient qu un vaste bassin, une piscine tout au plus. Jje fus un grand capitaine mais je n ai jamais découvert d autre contré signé Christophe colomb.
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Que retiendra l histoire de mon passage ici-bas ?
Comme pour nous tous rien.....adieu la vie adieu ma famille...adi.......
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@heidi
Rien, le vide, une sensation de blanc, presque de transparence, et les battements transportés de son coeur. Soeur Borglinde, assise sur la margelle de calcaire grêlé et moussue du bassin proche du poulailler agrippait de ses mains fines mais déjà fortes, rompues aux travaux du petit prieuré, sa robe écrue de novice. La lumière crue qui s'était faite quelques instant plutôt la baignait, continue, d'une fraîcheur plus vivifiante et apaisante que ne l'aurait fait l'eau de la petite piscine derrière elle. Cette eau qui s'était vivement répandue du seau trop plein, trop lourd, qu'elle avait alors lâché sur l'ourlet de la moulure de pierre. Cette eau qui mouillait maintenant ses sandales de cuir dans l'herbe verte et jaune de cette fin de printemps. Borglinde, son fin voile bleu de lin légèrement descendu de ses cheveux de feu nattés, contemplait la nature qui s'étendait vers l'est, entre, mais bien au-delà, du mur blanchi de chaux de l'abri des poules et, bien plus à sa gauche, à l'extrémité de son champs de vision, la petite chapelle aux menues fenêtres en arc cintré, dont le toit rose saumon, bas et aplatit, contrastait si heureusement avec les murs rappelant la crème du lait, tachetés parfois de petites pierres saillantes. Le verger, les buissons de baies presque invisibles sur la droite. Et devant elle très près, des marguerites encore jaunes et les boules étoilées des pissenlits plus léger que l'air. Cet air embaumait de senteurs de menthes, de cerfeuil, de thym, et des milles autres plantes et simples montant des carrés de noisetiers tressés si bien entretenus par l'attention rigoureuse mais bienveillante de soeur Dagmar. Dans ce temps paisible et suspendu, ce fut le pas volontaire et l'air sérieux du beau visage de sœur Bertrade dont la sérénité furent ébranlés, tant et si bien qu'elle en lâcha le parchemin des comptes qu'elle tenait à la main, lorsqu'elle découvrit la jeune novice, assise à côté de son seau, auréolé de plus de lumière que le soleil n'en offrait même à cette chaude heure déjà avancée de la journée. Une brise légère formait de petite vague dans la petite piscine et elle senti le duvet de ses bras se dresser sous le chanvre de ses manches en voyant parmi les étoiles végétales tourbillonnantes qui s'élevaient du sol devant Borglinde, l'animal fabuleux qui captivait cette dernière...
| dernière édition par leo Réputation: 155 | Messages: 456 -
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@leo @ayamé @Delnis @Dirty-Cop @icescream @jool @Kachina @Ronchon
j lbonjour leo
je me sent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine apres ton intervention, mais peu importe tu es notre lièvre....ok panthère ou autre félin ,si tu veux......
Et dans l hitoire avec la tortue ,il y a bien au moins une fois ou celle ci gagneUne touche d humour pour débutera cette journée
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@Lissilma @ayamé @Delnis @Dirty-Cop @icescream @jool @Kachina @Kachina @Koursk @leo ...
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Je serai en transhumance toute la matinée des 5h30 sourit le mouton alors je vous donne mon verdict@jool est en-tête largement devant nous tous
@leo a fait son apparition tardivement mais dans les temps hors du communCe sont nos deux vainqueurs chacun nous donneras un mot assez rapidement .....
Bravo leo et jool .....
Et nous faisons appel à @Koursk dans sa bonté et son indulgence envers nous tous à genoux ,pour le trair d humour ,POUR LE MOT SUPLEMENTAIRE QUI NOUS MANQUE
N O U V E A U A T T E N T I O N A L I R E
Un thème imposé sera la PRÉHISTOIRE pour Corsé l affaire et oui c est nouveau dites merci a @Delnis
ps : continuez d écrire en premier lieu vous êtes le rayon de soleil de mes journées .et plus encore...