Ô, surprises, cette semaine !
-
Décris-moi un mouton
La crève me tient. C'est elle qui agence mes journées depuis quelques jours.
Je me sens démotivée, vidée, fatiguée. Pour vous dire, même les plus paisibles notes de musique m'insupportent. Le silence règne donc autours de moi. Je suis en recherche de l'absolue sérénité.
C'est à tel point que je m'étonne encore, de la réactivité dont j'ai réussi à faire preuve lors du Blind test d'hier soir. Il me faut sans doute remercier les deux cachets de MexavitC (équivalent Efferalgan) que j'avais prit un peu avant. Mais le pouvoir du paracétamol a ses limites. Je ne puis plus ce matin, me concentrer plus de 5mn d'affilée. Fort heureusement, point d'anxiété. Ma nuit a été pleine de rêves étranges, mais rien qui ne se soit apparenté à un cauchemar.Allez, je vous laisse.
je vais manger un peu et m'écrouler dans mon canapé devant un kdrama.Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
| dernière édition par Artelise Réputation: 6884 | Messages: 4146 -
Décris-moi un mouton
@Kachina c'est très bien. Je crois que je vais faire impasse moi pour cette fois. A demain
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
-
Décris-moi un mouton
@Les-Plumes
Jolies plumes,
Hier soir, j'hésitais trop entre bousculer les habitudes ou les conserver
aussi, ai-je préféré une nuit de sommeil pour décider de l'endroit où je pourrai bien emmener vos muses toute cette semaine.J'ai donc choisi une photo , à laquelle je joins une citation de l'ami Victor, histoire d'élargir tous les possibles ....et de ne surtout pas vous sentir "emprisonnés"
"l'homme est une prison où l'âme reste libre " C'est parti . Je vous attends .
Belle journée et belle semaine .
| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
Décris-moi un mouton
@Kachina : quelle bonne idée tu as eue avec cette image. Elle m'a de suite inspirée. Mon inspiration provient de ma signature. Je fais parler Nelson Mandela au travers de mes lignes.
J'étais emprisonné dans une cellule si petite que je ne pouvais même pas m'y allonger de tout mon long. Quand je tournais en rond dedans, j'étais plus à l'étroit qu'un poisson rouge dans son bocal. Alors, je faisais des exercices sur place pour que ni mes articulations ne rouillent, ni mes muscles ne fondent.
Les jours se suivaient, dans une lenteur interminable. Je ne savais même plus depuis combien de temps j'étais là et en quelle saison nous étions.
Comment ne pas devenir fou dans ces conditions ? La folie ? Je me disais : " pas question que j'y cède, je pressens que j'ai encore un rôle à tenir dans ce monde dans lequel trop, vraiment trop de gens subissent encore et toujours mépris, haine et rejet et vivent en enfer autant que moi dans cette géôle dans laquelle je n'étais plus rien ni personne : et eux également." Pour ne pas sombrer dans la démence, je pensais, je méditais, faut dire que je n'avais que ça à faire, c'était bien la seule liberté qu'il me restait. Personne n'aura jamais ma liberté de pensée !
Oui, liberté : de ne pas laisser mes bourreaux tuer ma joie de vivre.
Oui, liberté : de ne penser qu'à des choses constructives. Je me forgeais une philosophie inébranlable. Je savais qu'elle me servirait un jour dans mon combat contre le racisme et pour la paix.
Oui, liberté : d'entretenir la flamme d'amour dans mon coeur et d'envisager des formes de lutte et de défense des opprimés.
Je me raccrochais de toutes mes forces à cette image : " je suis un homme libre, même si ce n'est que dans ma tête. Je suis comme le roseau : je plie, mais ne romps pas !"
Un beau jour, on est venu me chercher, on m'a dit que j'étais libéré ! J'ai appris par la même occasion que c'était le 11 février 1990 et que moi, le prisonnier matricule 46664, je quittais le pénitencier Victor Verster, dans la banlieue du Cap, après 27 ans et 190 jours de détention !
Plus de temps à perdre, j'en avais eu assez pour savoir ce que je voulais : montrer à la face du monde que je n'avais rien perdu de mon ardeur, de ma foi, de mes convictions.
Je voulais être élu Président de l'Afrique du Sud, oui, rien que ça, c'était la seule façon d'avoir les moyens suffisants de faire gagner mon combat ! J'y suis arrivé ! Après avoir obtenu le prix Nobel de la paix en décembre 1993, j'ai été élu Président en mai 1994. Certes, que 5 ans, du 9 mai 1994 au 14 juin 1999, mais cela suffira, je pense, j'espère, pour marquer à jamais les esprits.
Hommes, femmes, je vous laisse en héritage ma lutte, car hélas, le combat n'est pas terminé, et 3 fois hélas, quand je vois comment agissent mes successeurs et d'autres dans le monde, je doute qu'il le soit un jour. Je suis très triste de penser cela, moi qui me suis toute ma vie appuyé sur cette seule phrase :
" Ne te laisse pas prendre ta joie; si tu perds ta joie, tu perds ta force ".
Pour finir cette lettre, une dernière chose à vous dire, appuyez-vous sur ma philosophie de vie qui se résume à ces quelques mots : "Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends ".| dernière édition par ayamé Réputation: 14914 | Messages: 11165 -
Décris-moi un mouton
@ayamé merveilleux hommage à ce grand homme courageux . 27 ans de prison, ça méritait bien d'en parler . Tout comme ce moment inoubliable avec "le zoulou blanc", qui , il ne faut pas l'oublier, l'a soutenu dans ce combat jusqu'au bout, bravant les interdictions et la censure .
-
Décris-moi un mouton
"L'homme est une prison où l'âme reste libre." (Victor Hugo) A ces barreaux édifiés pour les règles imposées,
la prison érigée n’a qu’une apparence mystifiée;
car à son sommet, une tour d’argent scintille.
Et même si nos cœurs en font une idylle fragile,
notre essence fait de nous des êtres splendides,
capables de voler où aucune entrave n’est solide,
pour briser les chaines et trouver la beauté en liberté.
Alors d’argent, tout devient or, et peut devenir réalité. -
Décris-moi un mouton
Ma muse ne s'est pas faite prier .. pour une fois(encore une fois) même si elle ne m'a pas forcément soufflée des notes gaies .
"L'homme est une prison où l'âme reste libre." (Victor Hugo)
554 668 …c’est mon nom….je ne suis rien , plus rien sinon ce numéro 554 668 gravé dans mon bras .Je ne sais même plus depuis combien de temps je suis là parmi ces centaines, ces milliers de gens qui me ressemblent , dont je me sens si proches, et que j’entends sangloter et même crier parfois au loin .
Le jour comme la nuit , tout est gris ici . J’ai si froid ! On dirait un cimetière ! Où que mes yeux se posent, La défaîte s’inscrit partout en lettres Rouge, sur les murs de ma cellule, dans le ciel , en eux, en moi . Je n’étais pas armée contre une telle souffrance moi qui vivais dans un monde si coloré..Qui pourra dire un jour si un tel châtiment était mérité? Qui saura prouver que toutes ces humiliations ne sont rien d’autre que la conséquence d’une armée de fous qui a perdu le sens de l’humanité ? Puissent-ils tous croupir dans un asile un jour.
Malgré toute cette haine, qui me tient compagnie, je rêve encore d’amour.
Mais ai-je seulement le droit de rêver ?
Que feraient-ils s’ils apprenaient que 555 668 s’évade en rêvant d’une victoire, d’un espoir et de délicieux souvenirs
.
Oui, je rêve et ferme les yeux à la recherche d’une réponse. Je suis perdue. Je repasse le film en boucle . Je n’ai jamais trop bien compris .Ce jour là, j’étais allée jouer chez les LEGALL à deux pâtés de maison . Louis , leur fils , était mon meilleur ami, mon complice de mille et une bêtises et pour tout dire, mon amoureux aussi !
Il était si beau ! Toutes les filles de l’école en étaient raides dingues , prêtes à se livrer bataille, à user de tous les subterfuges pour gagner sa confiance, attirer son attention , faire sa conquête quoi !Louis, « Loulou » c’est comme ca que j’aimais l’appeler, c’était un vrai guerrier..Il n'avait peur de rien ., il m’avait appris à nager!.
Ce jour là, nous jouions à l’étage, quand tout à coup, ils sont entrés dans la pièce et m'ont emmenée.
Je me souviens que Madame LEGALL m’a serrée fort dans ses bras
Je me souviens surtout de Louis qui pleurait.
Rien que pour lui , je vais me battre pour retrouver ma liberté.| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020 -
Décris-moi un mouton
Il ne savait plus se situer dans le temps, il y avait trop longtemps qu'il gisait dans ce trou infâme.
Chaque jour on lui descendait deux seaux au bout d'une corde : un seau d'eau pour s'abreuver et se nettoyer et l'autre avec sa ration alimentaire du jour.
Ce 2eme seau lui servait ensuite pour ses besoins naturels. S'ensuivait la remontée des seaux de la veille.
C'est le seul moment de la journée où il était en lien avec ses tortionnaires.
Fait prisonnier par les kmers rouges, Ath croupissait dans cette fosse puante. A peine alimenté par des portions congrues, juste de quoi survivre, il se demandait s'il sortirait un jour de cet enfer.
Les bombardements, parfois proches, le faisaient tressaillir à chaque fois. Même la nuit, les rêves viraient au cauchemar.
Des cris, des coups de feu... des hurlements. Les insultes de gardes, les crachats.
C'était le quotidien.
Mais là, c'était différent... Le camps se faisait attaquer. Ca tirait de partout... Et les gardes s'enfuyaient.
Il s'époumona :
"Ici, au secours ! à l'aide ! "
"Ici, venez ! au secours" !
et deux soldats s'accroupirent bientôt au bord de la fosse.
"Tiens bon, on te sort de là !"
Deux mois plus tard, sortant de l'hôpital, Ath ne saura dire qu'une chose :
C'est la liberté de penser qui m'a maintenu en vie avant d'être libéré. -
Décris-moi un mouton
"l'homme est une prison où l'âme reste libre "
Incarcéré depuis des décennies, l’homme sourit.
Il a du sang sur les mains. Il ne l’a jamais nié.
Il n’a jamais regretté non plus.
Il a joué, longtemps, au chat et la souris avec la police.
Et un jour, simplement, il a perdu.
Tant pis.
Il sait, de toute façon que l'homme est une prison où l'âme reste libre.
Il ne sait plus qui a écrit cette phrase, mais elle a nourri l’homme qu’il a été, l’homme qu’il est et l’homme qu’il est déterminé à rester.
C’est ce qu’il vient d’expliquer au prêtre qui est venu lui rendre une visite.
L’homme, dans sa sombre soutane, opine du chef, pensif.
Le prisonnier sourit de plus belle. C’est habituellement à ce stade que les religieux commencent à perdre pied. Et il faut souvent peu de temps avant qu’ils ne perdent espoir et ne l’abandonne « à son sort ».
voilà un point de vue intéressant, répond sereinement l’homme d’église. Il est vrai que cette citation de Victor Hugo peut être une belle source d’espoir. Mais cela reste le fruit de la réflexion d’un laïc, aussi célèbre puisse-t-il avoir été.
Le prête plonge les yeux dans celui de son vis-à-vis. Point de peur, ni d’horreur sur les traits de son visage. Pas de pitié non plus.
Êtes vous bien certain que l’âme dont Dieu nous a doté est libre ? reprend le prêtre posément. n’est-elle pas, au contraire, prise en otage, le temps que Dieu détermine de sa destination finale ?
La question reste en suspens entre les deux hommes dans un silence qui s’éternise.
Juste au moment où le prisonnier ouvre la bouche pour pendre la parole, le prête regarde sa montre et décide, tout soudain que la visite est terminée. Il se lève alors et, sa Bible placidement serrée dans une main, il fait signe au gardien qui vient prestement lui ouvrir la porte. Il fait quelques pas. Il s’arrête sur le seuil de la cellule et se retourne.
Profitez-bien de votre cellule. Et de la "liberté" de votre âme. Bientôt, Il viendra récupérer ce qui lui appartient déjà. Or, Il n’est pas réputé pour sa compassion.
Incarcéré depuis des décennies, le vieux prisonnier frémit.Le bonheur n'est pas une chose toute faite. Il découle de vos propres actions
| dernière édition par Artelise Réputation: 6884 | Messages: 4146 -
Décris-moi un mouton
Hors d'haleine il s'adossa à un arbre puis se laissa glisser telle une poupée de chiffon. Il allait crever ! Son coeur avait beau tambouriner dans sa poitrine, il ne voyait pas comment continuer.
- Et maintenant ? Que vais-je faire ???
faire-faire-faire. L'écho lui répondait. Et ses yeux se remplirent de larmes. La douleur le cisaillait de partout. Une douleur non palpable, non saisissable. "Avec le temps tout s'en va" lui avait-on dit. Mais lui n'y croyait pas. Tout dans sa vie la rappelait à son souvenir. Il sentait son parfum partout. Ici il y avait la vitrine dans lequel ils avaient regardé pour la première fois leurs reflets se tenant la main. Même cette arbre ! C'était contre lui qu'une fois ils avaient...rahhh !! Il la sentait partout de toutes les fibres de son corps. Même la nuit dans son sommeil il continuait à la chercher dans le lit. Mais elle ne l'aimait plus. C'était tout. Rien à lui reprocher, elle ne l'aimait simplement plus. Et il n'y avait rien à faire pour lutter contre ça. Jamais il ne lui serait venu à l'idée de s'imposer à quelqu'un qui ne voulait plus de lui. Il hurla :
- Quelle puissance ? Quelle arme brise l'indifférence ??
rence-rence-rence... Il se frappa violemment la poitrine. Mais qu'il crève là maintenant ! Quel intérêt de continuer sans elle ? Pas assez lâche pour se suicider, pas assez courageux pour affronter une vie dont il était prisonnier...Il pensa vaguement aux camés qui ne pouvaient pas se passer de leur dose. Voilà où il en était...Diego n'était pas libre dans sa tête. Et son corps le picotait partout où elle l'avait touché.
D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.
| dernière édition par Hilda Van Holp Réputation: 3531 | Messages: 2625 -
Décris-moi un mouton
Mes mains cramponnées aux barreaux, j’attends, j’attends… Le temps passe et j’attends.
Le petit bout de ciel que j’aperçois à travers les vitres sales de ma fenêtre grillagée est mon seul lien avec l’extérieur. Je suis coupé du monde. J’ai cessé de compter les jours, les mois, les années, j’ai perdu la notion du temps, d’ailleurs quelle importance, je suis seul, oublié de tous, qui se souvient encore de moi ? Cela fait si longtemps que je n’ai vu personne, je vis dans mes souvenirs, je vis comme une sorte de zombie. Comment ai-je pu conserver toute ma lucidité, ne pas perdre la tête, je ne sais pas, mais peut être aurait-il mieux valu que je n’aie plus ma raison, que je devienne fou...
Je m’assois à même le sol, emmitouflé dans ma vieille couverture trouée qui ne me protège guère du froid qui règne tout le temps. Ceux qui m’ont jeté dans cette prison perdue je ne sais où ont voulu me faire taire. Oui, j’ai voulu résister, me rebeller, contester, et comme les autres j’ai été mis hors d’état de nuire à ce pouvoir qui étouffe le pays. Ici il vaut mieux subir et se taire, en essayant de survivre. Les conditions de vie sont si dures, le peuple manque de tout, et surtout de liberté. Je pense à ma femme dont je n’ai plus de nouvelles, ni de mon fils qui venait de naître lorsqu’ils sont venus m’arrêter. Quel âge peut-il avoir aujourd’hui ? Est-ce qu’il sait que j’existe ? Sont-ils encore en vie ? Ils sont mon dernier rempart, ce à quoi j’essaie de me raccrocher pour tenir encore un peu… Alors je fais voyager ma pensée. Je suis là avec eux, dans notre petite maison, je revois des scènes vécues, ou j’en imagine d’autres.
Je suis las, tellement las. A quoi me sert de vivre ainsi, sans plus aucun espoir, je n’arrive presque plus à marcher, je suis tellement faible, je ne me sens plus capable de résister, ils ont eu raison de moi et de ma volonté.
J’ai du m’endormir. J’ouvre les yeux et je me sens soudain si léger, c’est à la fois étrange et agréable. J’ai comme un sentiment de bien-être, je regarde autour de moi et j’ai comme une impression de flotter, oui c’est ça, je suis au-dessus du sol, mon corps est comme transparent et je n’en éprouve aucune peur, je me sens libre, je m’élève, c’est incroyable, et voilà soudain que j’aperçois le mur de ma prison, je suis à l’extérieur, quelque chose m’emporte et je me laisse aller bien loin de tout ceci qui tout à coup n’a plus aucune importance, je ne pense plus à rien qu’à cette liberté qui m’attire irrésistiblement dans un tourbillon d’amour.
Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux
| dernière édition par ytica Réputation: 1716 | Messages: 836 -
Décris-moi un mouton
@Les-Plumes
Le We se termine déjà . Hélas !
Je ne vous ai pas oublié . Loin de là .Je voudrais partager avec vous une jolie citation de l'abbé Pierre mais sûrement pas par hasard.
En effet, c'est mon amie ukrainienne , (dont j'ai évoqué l'existence un jour, ici) qui , par le biais d'une discussion entre amis whatsapp l'a utilisée en guise de désistement pour une invitation à festoyer Samedi Soir. (elle manifestait pour l'arrêt des combats dans les rues de Nîmes)Pour simple rappel : Samedi, c'était la date du 2ème anniversaire de la guerre en Ukraine ( sa fille est restée là bas) et nous, ses amis, avons tous, été si mal à l'aise, d'avoir oublié et commis un tel impair.
Nous, amis qui, pour 3 fois rien nous compliquons si souvent nos vies , avons reçu en pleine face, une leçon de vie . La fête a eu un tout autre goût après ca.Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.Je sais rien de très gai mais la réalité n'est pas toujours très gaie, Je choisirai donc, pour ouvrir la route , le mot "Obscurité"
C'est à vous .
Je vous souhaite une belle nuit et une belle semaine même s'il s'agit d'une reprise .
| dernière édition par Kachina Réputation: 23365 | Messages: 16020