Aquaman est un film réalisé par James Wan et sorti en 2018.
Le roi de la pole-dance
Plouf : Un champion de natation cherche un trident. 
(En vrai il cherche sa mère, c'est très freudien comme film.)
Un film qui porte aussi sur les cheveux
Ce topic sera mon exutoire (pardon, c'est donc un peu en vrac) :
Bon je vais quand même citer un truc bien : il y a Jason Momoa qui capte la lumière et sauve un peu le film, grâce à 20% de vannes et 80% de pectoraux tatoués et sculptés dans l'or.
Le reste du film, et c'est incroyable compte tenu du sujet (qu'y a-t-il de plus gracieux que les fonds marins ?), est une torture visuelle : la laideur est partout où nos yeux se posent, c'en est ébouriffant d'ingéniosité.
Par exemple, prenons une connas Amber Heard, quand même plutôt plastiquement bien faite, eh bin ils sont allés lui coller une improbable perruque rouge, qui j'en suis convaincue servait de serpillière juste avant (non Pierre c'est un gilet, ah mais oui ya des trous plus grands pour les bras), assortie d'un costume vert à paillettes disco d'une ringardise prodigieuse. 
Il faut parler des super-pouvoirs d'Aquaman !
Premier super-pouvoir :
Alors que Jason Momoa gagnerait clairement à rester nu (pas de panique, il est bien torse nu la moitié du temps), son personnage a curieusement la capacité de générer des vêtements, c'est-à-dire que quand un méchant lui arrache un peu de son pull, pas grave, il sort un petit polo seyant de sa poche (plan obligatoire où le voit s'habiller) et bim il est re-bg. Eblouissant.
Deuxième super-pouvoir :
Aquaman parle aux poissons. Je répète : il parle aux poissons !!! C'est quand même un pouvoir super rigolo en + d'ouvrir des horizons extrêmement cinégéniques. Eh bin que dalle. J'ai espéré pendant tout le film entendre ce que les merlans ou les huîtres ont à dire, mais le type ne se sert de son pouvoir que pour donner des ordres inutiles aux animaux sans interaction, le plus grand gâchis !
Il y a des requins dans le film, ce que j'espérais, mais c'est un comble, l'outrage ultime en ce qui me concerne 
: les plus belles créatures de l'océan sont reléguées à un rôle de grosses vaches nulles.
Je reviens sur l'esthétique choisie parce que ça me dépasse tellement ça ressemble à une collection des pires décisions prises par un designer, et que ça décrédibilise tout le récit.
Du genre : dès qu'il y a une combinaison à mettre sur le dos d'une sirène, le styliste a cousu partout (fils apparents) de la fausse nacre en plastique sûrement dégotée chez AliExpress, lui a collé des palmes sous les bras et des méduses dans le dos, et en avant Guingamp. 
Et tout l'univers est comme ça, cheap et hideux.
Enfin, pile quand je croyais qu'on avait touché le fond niveau imagerie ridicule des fonds marins et costumes en algue nori, figurez-vous qu'il y a un bref plan où on voit, tenez-vous bien, une pieuvre qui joue des bongos. Mais premier degré hein, c'est une pieuvre qui tape sur des tambours avec ses tentacules, pour animer une soirée. DJ Octopus au djembe, totalement sérieusement. B*rdel 
je m'en suis pas remise de cette scène…
Pour le scénario… je vais résumer : aucun intérêt, tout a été vu mille fois et mieux fait ailleurs.
En fin de compte j'ai bien ri, c'est l'essentiel. Et vous, qu'avez-vous pensé de ce film ?
).
). Mais Patou c'est aussi Nite Owl dans Watchmen ! Ça m'a perturbée...
(je les choisis jamais au hasard).
