Les choses grotesques dans les films

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Après le prix psychologique le décompte psychologique.

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Mais non, c'est un compteur de spectateurs qui croient ce qu'ils voient

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@Jabba-the-Hutt text alternatif belle explication détaillée.
A laquelle j'adhère.

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@Shanna a dit dans Les choses grotesques dans les films :

Je sais pas si c'est "grotesque", mais c'est suremployé...

J’ai récemment découvert que ça existe en vrai, au niveau de l’océan.

Sauf que là, c’est du côté US le filtre jaune dégueu.

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Une série sur 2052.. eh bien, s'ils dansent encore comme ça dans 30 ans, je mange mon chapeau !!!

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Habituellement, lorsque vous entrez dans une pièce sombre, vous allumez la lumière principale.
Mais dans la plupart des films horrifiques (angoisse, effrayant, horreur, monstres, épouvante, gore, ...)
n'avez-vous pas remarquer que c'est ce que font le/la/les acteurs en dernier ?
Je crois même que les pires pièces sont la cave et le grenier.
Vous savez, celles qui sont presque tjs dans une obscurité de terreur

Doivent avoir des yeux de chat, ou être nyctalopes

Banni

Quand il y'a le méchant du film qui a vidé la moitié du chargeur de la mitraillette sur le gentil, sur le parking désert d'une supérette aux États-Unis. Le méchant se retrouvant alors à 1 mètre du gentil, ce dernier agonisant dans une mare de sang, frôlant la syncope.

Et là, dans la plus grande des sérénités, le méchant :

" Je t'avais pourtant prévenu Maurice; on ne plaisante pas avec ces choses là, si seulement tu m'avais écouté, ce jour de juin 72, on en serait pas là.

Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même, Maurice, et maintenant regarde sa montre parmi les 5 qu'il a autour du poignet, il est l'heure de payer Maurice, tu l'sais.
Je t'avais déjà pourtant prévenu d'innombrables fois, d'innombrables fois, d'innombrables... fois.. Maurice.

Et maintenant, avant d'en terminer, je vais t'expliquer rapidement comment ça va se dérouler Maurice. Tu pensais réellement que j'allais t'ôter la vie comme ça, sur une balle perdue ? Alors que ça fait des décennies que j'attends ce moment Maurice, que je te cherche éperdument, que je t'envoyais des signaux, à toi, ta femme, ta nièce, comment elle s'appelait déjà .. ? Ah oui, Jade. À ta cousine par alliance, tes enfants et surtout, surtout Maurice, à ta famille. Tu sais dans la vie Maurice..

Alors je vais te tuer mais avant que je vais te tuer, ah que je vais aller plutôt acheter une scie à métaux dans le Bristol Farms de Portland, car celui qui est à 200 mètres du parking, je le connais, ils n'en n'ont jamais en stock. Je reviens Maurice, surtout bouge pas, je sais où te retrouver."

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Il n'y a pas que dans les films qu'on trouve des choses grotesques, les séries aussi.
Par exemple la série policière britannique "Barnaby".
Outre le fait que le taux de meurtre dans le comté de Midsommer dépasse de 200% le taux annuel de toute la Grande-Bretagne, il y a quelques meurtres invraisemblables dans leur exécution.
Dans un épisode, un type circule avec une calèche sur une route de campagne avec des arbres sur le côté droit du type.
A un moment, en travers de la route, il y a un arbre couché. Le type arrête sa calèche, se met debout sans descendre pour gueuler contre son agresseur (qu'on ne voit pas évidemment) et paf ! il se prend une grosse branche (suspendue à deux cordes pour faire balancier) dans la tête du côté droit.
Invraisemblable ! Pour que ça marche, il fallait impérativement que la victime s'arrête à un point précis car 20 cm avant ou après, la branche aurait raté la tête. De plus, il fallait aussi que notre meurtrier soit sûr que la victime se mette debout dans sa calèche, sinon la branche passait au-dessus de la tête.
Ce n'est plus un simple meurtrier, c'est un devin !

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@Louikatorz a dit dans Les choses grotesques dans les films :

e taux de meurtre dans le comté de Midsommer dépasse de 200% le taux annuel de toute la Grande-Bretagne

ça me fait penser à Hercule Poirot qui porte la poisse à environ tout le Royaume-Uni (où qu'il aille des gens meurent de morts violentes)

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@Shanna Encore que souvent le meurtre a eu lieu avant qu'il n'arrive, il est appelé pour résoudre le mystère.

Mais tant qu'à parler de la série "Hercule Poirot" (celle avec David Suchet), j'ai deux exemples aussi de meurtres soit impossible, soit dépendant d'une circonstance aléatoire.

D'abord l'impossible. Il s'agit d'une histoire où une femme se fait passer pour une autre dans une réunion de famille, après un décès je crois.
Survient une dispute et une femme, future victime quitte la salle où tout le monde se trouve pour aller dans sa chambre de la grande maison.
Là, assise devant son miroir, elle réalise un détail important qui lui fait comprendre l'imposture. Elle sort de sa chambre pour utiliser un téléphone sur une table dans le couloir afin d'avertir une autre personne de sa découverte, et c'est là que notre meurtrière lui donne un coup violent sur la tête.
Or ce meurtre est impossible. Lorsque la future victime réalise le détail important, elle est seule dans sa chambre, l'assassin ne peut donc pas savoir qu'elle est découverte. Elle ne pouvait pas savoir non plus que sa future victime allait sortir téléphoner pour la dénoncer, ni même pourquoi elle téléphonerait.

Dans un autre épisode, la circonstance aléatoire est plus subtile.
Une femme veut commettre un meurtre mais elle prévoit un alibi en béton. Elle a prévu d'envoyer une comédienne à sa place assister à un diner mondain où personne ne connait le visage de notre future meurtrière, pendant qu'elle, de son côté, allait tuer sa victime.
Et avant de partir à ce diner, elle invite Poirot (qui la connait donc) à venir à ce fameux diner. Poirot refuse poliment.
Et c'est là la circonstance aléatoire rendant le meurtre impossible à réaliser, car Poirot connaissant le vrai visage de la future meurtrière, s'il avait accepté d'assister au diner, le plan de celle-ci s'écroulait, plus d'alibi !
Agatha Christie n'y avait pas pensé.
D'ailleurs Poirot n'étant pas convié à ce fameux diner, notre future meurtrière n'avait qu'à ne pas inviter Poirot pour ne courir aucun risque.

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@Louikatorz elle lui propose sachant très bien qu'il va dire non, n'étant pas invité par l'organisateur du repas qu'il ne connaît d'ailleurs même pas.

Pour la première situation, on peut supposer que les premiers mots qu'elle a prononcés ont alerté l'assassin. Bon ok il fallait réagir très vite, mais c'est possible !

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@Mai-Tai Pour le deuxième cas cité, je souligne que pour ne prendre aucun risque, il suffisait à la meurtrière de ne pas inviter Poirot, elle était alors certaine qu'il ne serait pas là et donc que sa "doublure" ne serait pas détectée.

Pour le premier cas, l'assassin ne pouvait pas savoir quoi que ce soit, la dispute n'ayant rien à voir avec sa fausse identité. Et puis comment aurait-elle pu deviner que sa future victime allait ressortir téléphoner et quand ? Elle aurait pu guetter longtemps.
Et puis dans une maison habitée par une foule de témoins potentiels, tuer quelqu'un dans un couloir où n'importe qui peut surgir à tout instant est très risqué.

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@Louikatorz
2e cas oui c'est sûr ! Là c'est une astuce pour que nous lecteur ou spectateur on croit totalement au personnage gentil et innocent de l'actrice.

1er cas : l'assassin ne guette rien, c'est un hasard qu'il entende l'autre commencer à téléphoner. Et c'est par réflexe qu'il agit. Il n'a pas le temps de se poser de question.

Je vois très bien de quels épisodes tu parles

@Mai-Tai En même temps, je ne voulais pas trop spoiler.

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@Louikatorz oui t'as bien fait
(On spoile quand même beaucoup ceci dit)

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@Mai-Tai c'est vrai, c'est du gros spoil bien sale ! La prochaine fois que je voudrai regarder un épisode d'Hercule Poirot, je saurai dès le début qui y a un meurtre. Une honte.

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@Orabig gnagnagna ! Nan mais dans le deuxième on a révélé qui était le tueur hein.
Dans le premier aussi d'ailleurs si on lit bien.
Heureusement que personne regarde à part nous les vieux

Banni

@Louikatorz a dit dans Les choses grotesques dans les films :

Il n'y a pas que dans les films qu'on trouve des choses grotesques, les séries aussi.

Tout à fait, bien que personnellement, je trouve que la différence du format ait plus naturellement tendance à nous rendre moins attentif à relever les choses grotesques dans les séries, que dans les films.
Je ne dis pas qu'il y'en aurait moins, il y'a tout autant d'éléments grotesques et incohérents, mais j'ai tendance à moins les repérer au bout de plusieurs épisodes que sur deux heures d'un film.

Cela dit, il y'a bien des sérivores qui s'amusent à passer tous les épisodes de toutes les saisons d'une série au crible, en relevant le moindre illogisme. Et c'est bien marrant mais je n'en suis pas capable personnellement. Il faudrait certainement que j'en regarde plus pour me faire à l'idée aussi.

Et au-delà de ça, bien que je préfère les excellents films aux excellentes séries, je suis malgré tout plus souvent impressionnée par le travail des scénaristes sur les séries que les films. Concernant l'originalité et le renouvellement d'une mécanique souvent plus similaire entre chaque films, je suis plus agréablement surprise par certaines séries.

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vous m'excuserez de ne pas lire les 39 pages ... je prends donc en cours et une chose m'amuse beaucoup, surtout dans les films américains, c'est que les gens, en rentrant chez eux, n'allument pas la lumière et préfèrent rester dans le noir, jusqu'à ce que l'agresseur se pointe ^^

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@Soisig oui, ou alors tout est déjà allumé, la moindre lampe, tous les plafonniers et autres loupiotes.
Les américains ne payent pas l’électricité ou bien ils attendent seulement d'avoir un serial killer dans la cave pour éteindre ?