@Hornet En fait la courbe des décès a commencé a remonter fin juillet. de peu, mais on voit bien que le nombre de décès qui était de 3568/semaine en avril a baissé grâce au confinement jusqu'a atteindre son point le plus bas fin juillet/début aout (58 décès/s)
Et c'est courant aout que les chiffres on commencé à remonter. Et comme pour toute épidémie c'est des croissances exponentielles
Je suis d'accord avec toi que le retour àç une vie "normale" avec retour au travail et à l'école n'ont pas arrangé les choses, mais en vacances les gens, que ce soit par frustration du confinement ou parce qu'ils se sont dit "c'est bon on est plus confinés il n'y a plus de danger" se sont largement relachés
Les files d'attentes ? Partout ou j'étais en vacances (Cheverny, Paris, ...) personne ne respectait les 1m d'écart. Comme si on allait avancer plus vite parce qu'on est collé à la personne de devant... Et je ne parle même pas du port du masque.
Même les professionnels : Sur les bateaux mouches à paris on étaient assis les chaises accolées les unes aux autres
Le virus a tout le temps circulé. On a tous avec le confinement été sages jusqu'à avant les vacances. Mais ensuite il y a eu relachement, ce qui a participé à la création petit à petit de ce qui est devenu la deuxième vague. Les prémices c'était cet été, on ne le sentait pas encore mais avec ce genre de truc c'est exponentiel, 1 personne en containe 2, qui en contamine 4, puis 8 etc... Plus il y a de brassages, plus le virus va circuler, et c'est que plusieurs semaines après qu'on a commencé à voir le résultat. Et ensuite comme tu dis le retour à la vie normale n'a pas arrangé les choses et a continué ce brassage
Comme le dit si bien @Dryanaide Le problème vient plutôt de la population et de son comportement. Est-ce que les gens vont se comporter avec civisme ou bien comme une bande de babouin en rut ?
Si les gens en vacances avaient respecté au sortir du confinement les distanciations et les gestes barrières, que ce soit en vacances, au travail ou dans la vie de tous les jours, on n'en serait peut etre pas à être reconfinés