@Trunks-999
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Le topic déprime (quand t'es triste)
@Trunks-999 je t'en donne pleins !
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Le topic déprime (quand t'es triste)
@Kallindra Même cette image ne me réconfortera pas énormément, pour le moment rien ne pourra la remplacer dans mon coeur
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Le topic déprime (quand t'es triste)
@Trunks-999 Il faut laisser du temps au temps. Le temps de la colère, de pleurer, le temps de l'apaisement. IL m'a fallu longtemps pour oublier ma lili que j'ai du faire piquer. Elle avait passé 16 ans à veiller sur moi, à me suivre dans mes galères. Elle avait une tumeur à la tête. Pendant très longtemps, son souvenir m'a accompagné. Il m'a fallu de longues années avant que je laisse un autre bébé chat entrer chez moi, puis longtemps aussi pour que je l'aime. Et aujourd'hui ils sont deux à la maison. Le souvenir de lili est là, mais il est apaisé désormais.
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Le topic déprime (quand t'es triste)
@Sky a dit dans Le topic déprime (quand t'es triste) :
@Trunks-999 moi ça m'a beaucoup aidé de me dire qu'il ne souffre plus de son point de vu , comme si j'avais absorber sa souffrance par amour
Oui il faut se dire que notre tristesse est la souffrance que l'animal n'aura pas eu parce qu'on l'a laissé partir.
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Le topic déprime (quand t'es triste)
c'est un tout qui fait que....
Alors que si on relativise tout va bien....
L'idée d'aller dej encore avec ka même personne qui va me saouler avec les mêmes histoires ça me....
Jai envie de pleurer....
Mais sinon vous ça va comment?
Quelqu'un aurait une petite blague à toto? Ou autre à me raconter?
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Le topic déprime (quand t'es triste)
SAEZ - Le pouvoir des mots.
1tS3 pnovembrgel, odruonidu1fo9:rlst1noremudorn9 ·
Ils étaient des sourires, ils étaient des sanglots
Ils étaient de ces rires que font les chants d'oiseaux
Ils étaient des matins quand on va bord de mer
Ils étaient cœur chagrin, ils étaient cœur lumière
Ils étaient des poèmes, ils étaient des oiseaux
Ils étaient des je t'aime qu'on dit bord du ruisseau
Ils étaient du café, ils étaient du bistrot
Ils étaient étrangers, ils étaient sans drapeau
Ils étaient de Paris, ils étaient de province
Ils étaient cœurs de pluie qui font mon qui grince
Ils étaient pleins de vie, avaient l'œil du printemps
Ils étaient cœurs qui rient quand le ciel est pleurant
Ils étaient des promesses, ils étaient devenir
Ils étaient bien trop jeunes oui pour devoir partir
Ils étaient fils d'Orient ou fils de l'Occident
Enfants du paradis, enfants du Bataclan
Ils étaient cœur français ou international
Ils étaient la rosée qui pleure desous le châle
Ils étaient des promesses, ils étaient des bourgeons
Qui font monter tristesse, ils étaient des chansons
Ils étaient des familles, ils étaient des amis
Ils étaient ce qui brille dans le ciel de la nuit
Ils étaient amoureux ceux qui se sont blottis
L'un contre l'autre à deux, contre la tyrannie
Ils étaient comme toi, ils étaient comme moi
Ils n'étaient pas guerriers mais sont morts au combat
Ils étaient cœur d'amour, ils étaient cœur qui bat
Puis qui battra toujours même en-dessous la croix
Ils étaient ces amis que je connaissais pas
Ils étaient mon pays et puis le tien je crois
Ils resteront Paris, Paris se souviendra
Toujours de ses amis, la lumière brillera
Ils s'appelaient je t'aime, ils s'appelaient jeunesse
Ils s'appelaient poème, ils s'appelaient tendresse
Ils s'appelaient frangine, ils s'appelaient frangin
Ils s'appelaient gamine, ils s'appelaient gamin
Ils s'appelaient la joie et puis la non violence
Ils s'appelaient je crois les enfants de la France
De tous les horizons puis de tous les prénoms
Ils s'appelaient amour, s'appelaient l'horizon
Ils s'appelaient Jacques Brel puis je crois Barbara
Ils s'appelaient le ciel, ils s'appelaient pourquoi
Toujours ici sommeil l'horreur au creux du bois
Qui rejoint l'éternel va l'innocent je crois
Ils étaient poing levé, ils étaient nos concerts
Ils étaient cœurs serrés oui face aux tortionnaires
Ils étaient cœur d'œillets, des fleurs face aux fusils
À nos cœurs endeuillés nous pleurons nos amis
À l'innocent qu'on tue, oui, tombé sous les balles
Au soldat inconnu sous l'horreur des mitrailles
Si sont les lettres mortes, les cantiques du chagrin
Puisque frappe à la porte les plaines de Verdun
Si sont tombés ce soir, en ce vendredi noir
Les frères de mon pays, nous laissant désespoir
Mon pays ta culture est morte assassinée
Mais tu sais ma culture non ne mourra jamais
Toi mon pays Molière, toi mon pays Vinci
Toi mon pays Voltaire, toi mon pays Valmy
Toi mon pays la Terre, toi mon pays Paris
Toi mon pays par terre, relève-toi mon pays
Toi mon pays lumière, toi mon pays la vie
Mon pays littéraire, mon pays triste vie
Toi mon pays mes frères, toi frère de mon pays
Comme on chérit sa mère, on chérit sa patrie... -
Le topic déprime (quand t'es triste)
Et bien allons y
Petite si tu es Kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.
Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.
C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.
Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son coeur éclôt
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.
Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.
Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des oeillets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.
La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s'éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n'avais plus personne.
N'écoute pas les fous qui nous ont dit
Que la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.
Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie:
Prétextes et fariboles!
Combien de vies pour un puits de pétrole?
Petite, si tu es Kurde, il faut partir:
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot...
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot!