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    Pourquoi vouloir des enfants ?

    Famille - Amis
    enfant
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    • agathe
      agathe @Jabba the Hutt dernière édition par

      @Jabba-the-Hutt
      Tu peux créer un topic à ce sujet pour en parler ?

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
      • Lapin
        Lapin dernière édition par

        La partie qui m'a le plus marqué dans la BD c'est ceci :

        text alternatif

        On entend tellement partout que l'amour des parents c'est inné, que tous les efforts valent le coup dès le moment où on reçoit cette petite chose rose braillante dans nos bras, ... Jamais je n'ai entendu dire avant que l'amour parent enfant est quelque chose qui se construit, que tout n'est pas automatique.

        Pour les parents ici, est-ce quelque chose que vous avez expérimenté ? Ce "temps d'adaptation" à l'arrivée de ce minuscule inconnu que vous aviez ramené chez vous ? Ou au contraire, comme je l'ai toujours entendu, vous n'avez ressenti qu'amour et bonheur dès que vous avez fait sa connaissance ?

        The only thing I do know is that we have to be kind. Please, be kind. Especially when we don't know what's going on.

        ANNE5983 Un Ancien Utilisateur agathe icescream Artelise 5 réponses Dernière réponse Répondre Citer 0
        • ANNE5983
          ANNE5983 @Lapin dernière édition par

          @Lapin a dit dans Pourquoi vouloir des n'enfants ? :

          vous n'avez ressenti qu'amour et bonheur dès que vous avez fait sa connaissance

          Pour moi c'est tout à fait ça. Je l'ai tellement désirée.
          Par contre une de mes collègues de travail "l'a fait" pour faire plaisir à son mari, et résultat elle n'a jamais su "être mère ". Cet enfant était comme un animal, un meuble presque. Heureusement qu'il avait un père aimant.
          Comme quoi "l'instinct maternel" n'est pas systématique.

          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
          • Un Ancien Utilisateur
            Un Ancien Utilisateur @Lapin dernière édition par

            @Lapin bonne question !
            Je ne suis pas forcement la mieux placée pour te répondre sur ce que j'ai ressenti car je ne suis pas du tout dans l'écoute de mes sentiments. Cela dit, si je repense aux premières semaines avec mon fils, je me dis que peut être mes difficultés avec l'allaitement ont "cristallisé" des difficultés plus générales, peut être.
            Du jour au lendemain (la naissance), ton centre de gravité des préoccupations se déplace. Tu dois gérer une troisième personne dans la famille, qui dicte son rythme et ses humeurs. Perso, je ne m'en cache pas, je me suis sentie "vampirisée".
            Mais, bon, ça n'a pas pris des proportions importantes car en abandonnant l'allaitement j'ai pu davantage partager l'alien (lol) avec mon conjoint. Restait la problématique des pleurs et du soulagement de ces pleurs. Là encore, on a pu se relayer et ça n'a pas trop duré. Coup de chance, bébé plutôt facile, né à terme à 3,8 kg, faisant ses "nuits" à 4 mois.

            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
            • agathe
              agathe @Lapin dernière édition par

              @Lapin a dit dans Pourquoi vouloir des n'enfants ? :

              vous n'avez ressenti qu'amour et bonheur dès que vous avez fait sa connaissance ?

              oui, bien sûr !
              un bonheur parfait !
              mais ils étaient désirés.
              C'est là que réside le souci.

              Je comprends qu'un enfant qui arrive "par accident" ou pour faire plaisir au conjoint n'ait pas la chance d'avoir le même accueil dès la naissance. Mais cela se construit.

              Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
              • Un Ancien Utilisateur
                Un Ancien Utilisateur @agathe dernière édition par

                @agathe C'est parfois plus compliqué : mon conjoint voulait des enfants depuis longtemps, il s'est même séparé de sa femme car elle n'en voulait pas. Moi j'étais en mode "baf, on verra" comme pour tout lol
                Au final notre fils est arrivé par surprise. C'est un cas de figure qui arrive aussi, entre "l'accident" et "le rêve d'enfant"... je pense que dans tous les cas on ne sait pas ce qui nous attend et qu'il n'y a aucune garantie des sentiments.
                Mais bon, est-ce si grave qu'on ne soit pas dans l'ébahissement total dès la chambre d'accouchement ? Je ne pense pas.

                Mai Tai 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                • Mai Tai
                  Mai Tai @Invité dernière édition par Mai Tai

                  @Marcel quand ma sœur a accouché, elle disait sans problème que mon neveu n'était pas très beau 😁
                  (Bon, des années après ça a changé, on est en mode mère juive "il est Beau mon Fils")

                  J'aime pas les gens

                  Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 4
                  • Un Ancien Utilisateur
                    Un Ancien Utilisateur @Mai Tai dernière édition par

                    @Mai-Tai le personnel médical après l'accouchement : Un petit sourire, non ?
                    Nous : têtes de déterrés, 36 ans pour moi, 38 pour mon conjoint
                    2 jours sans dormir, péridurale paralysante, 10 h en salle d'accouchement sans perspective de chambre, mon conjoint, guère mieux sans la péridurale.
                    "Ferme la et trouve nous une chambre" lol

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                    • icescream
                      icescream @Lapin dernière édition par

                      @Lapin oui clairement il m a fallu m'adapter, c est une relation qui se construit et un nouvel équilibre à trouver

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                      • Un Ancien Utilisateur
                        Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

                        Ça a été plus dur avec mon premier enfant qu'avec le deuxième. La première césarienne, j'ai eu des suites douloureuses et tenté l'allaitement. Fatiguée tout le temps. Du tâtonnement dans les soins à faire, tout à apprendre. Peur de mal faire, etc. Et puis mon mari déjà à 250 km pour son boulot, et moi je travaillais, avec des gardes. Pour le deuxième vu que je ne travaillais plus, bien plus simple.

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                        • Artelise
                          Artelise @Lapin dernière édition par Artelise

                          @Lapin

                          J'ai donné la vie deux fois et j'ai expérimenté les deux phénomènes.

                          Il faut savoir que j'ai longtemps songé que les enfants et moi, ça ferait au moins 36. Car j'avais toujours été très mal à l'aise avec les enfants des autres; mal à l'aise, maladroite, agacée, impatiente, je ne supportais pas leurs cris, ne les comprenais pas etc.. Pas au point de dire que je les détestait tous, mais convaincue que c'était pas fait pour moi.

                          Et puis, j'ai grandit et j'ai réalisé, à ma propre surprise, que je voulais devenir mère.
                          Dès lors, ma quête de compagnon idéal s'est peu à peu transformé en quête de père idéal pour mes futurs enfants (sans pour autant oublier le côté compagnon idéal, hein ! fallait les deux.. la fille pas exigeante quoi. lol)

                          Lorsque je me suis mariée, j'avais déjà franchi le cap des 30 ans. Je trouvais que c'était déjà un peu tard pour avoir des enfants. Car je n'ai jamais perdu de vue que, mine de rien, ben, avoir des enfants, ça veut dire laisser de côté tout un tas de chose (moins de temps libre, moins de temps pour le couple, moins de temps pour soi, plus - beaucoup plus - de sollicitations extérieur... etc). Et je voulais donc avoir des enfants à un âge où on a encore de l'énergie pour tout ça.

                          J'ai arrêté la pilule, que je boulottais tous les soirs de puis mes 14 ans (prescription pour tenter de réguler mes règles et pour réduire les douleurs... j'insiste tenter de, enfin bref).. j'arrête la pilule, disais-je, 6 mois après mon mariage, à la fin du mois de décembre. Nouvelle année, nouveaux projets... tout ça. Je constate que je suis enceinte au début du mois de février suivant. Je vous jure, je l'ai annoncé à mon homme avec une carte de St Valentin.

                          Dès le début, ça a été l'hilarité totale. Jamais je n'ai été aussi heureuse que pendant cette grossesse-là. Et j'ai aimé cet enfant dès que j'ai su qu'il allait entrer dans ma vie. Et en plus, ma grossesse s'est déroulée crème, pas de soucis, pas de nausées, pas de douleurs particulières.. le seul soucis, c'est que mon bout de chou a tenu à rester au chaud le max du max autorisé ! il a fallu déclencher l'accouchement. Long, pénible, douloureux.. (je ne voulais pas de la péridurale car je voulais sentir la délivrance). Et finalement, au bout d'un temps que j'ai jugé interminable (36 heures environ entre le moment où on décidé de déclencher et la délivrance), j'ai pu prendre mon enfant contre moi. Un peau contre peau magique. Et mon coeur qui battait à tout rompre sous le coup de l'émotion et d'un amour débordant.

                          Et puis, on a laissé s'écouler un peu plus d'un an ans avant de se dire que, question d'âge encore, ça serait cool de ne pas trop attendre pour le petit deuxième. On définit une date : à la fin de mes plaquettes de pilules (y en a trois par boîtes), on ne renouvelle pas l'ordonnance. ça nous amenait au début du mois d'aout. ça nous faisait un bébé de printemps. Sauf que.. je me suis montrée curieuse et que j'ai vu que selon le calendrier chinois, si je voulais une fille, je devais tomber enceinte courant juin ou début juillet, au plus tard... Mais voilà, Zhom s'est contenté de hausser les épaule.. "le calendrier chinois ? t'es sérieuse ?".. Ben, oui, une part de moi l'était.. suffisamment pour que j'oublie mon rendez-vous du soir pendant quelques jours, courant du mois de juillet... Je m'en rend compte, je me jette sur le reste de mes pilules.. et au début du mois d'aout, un matin, je me sens nauséeuse. Etrange, me dis-je, mais ça passe. Et le lendemain matin suivant, rebelote. le truc, c'est qu'on a rien fait depuis que j'ai arrêté ma pilule. Tout de même : j'achète un test. Le jour suivant, je me réveille nauséeuse.. allez, je file faire pipi sur la bandelette. Et là, bingo, pas de doute, le petit deuxième est en route. Lors de la consultation chez le gynéco, on apprend qu'en réalité, il est en route depuis le début du mois de juillet.. et le doc de me dire : "si vous avez oublié votre pilule, c'est qu'une part de vous savait que c'était devenu inutile". Cet enfant, je l'ai désiré autant que le premier. Et pourtant, lorsqu'elle est née (à peu près à terme, même si elle nous a fait un peu attendre aussi), je n'ai pas connu le coup de foudre. Je l'ai trouvé "moche". Je n'aimais pas son nez. Et, oui, il m'a fallut plusieurs semaines avant de ressentir ce déclic que la bd évoque et illustre si bien :

                          ScreenHunter_22 Apr. 07 14.32.jpg
                          ScreenHunter_23 Apr. 07 14.33.jpg

                          Alors, oui, c'est une chose qu'il faudrait dire à tout le monde et dont il faudrait absolument cesser de faire un tabou. Car non, l'amour qu'on porte à ses enfants, ceux-là même qu'on a pourtant porté de longs mois, n'est ni automatique, ni systématique. Et non, l'amour qu'on porte à cet être unique et merveilleux n'empêche pas la dépression post-partum.

                          ça aussi, je l'ai vécu. Seule. Parce que, oui, la société attend que les mères soient des battantes, des sortes de super-héro que l'amour maternel porte et supporte forcément au point de trouver des ressources inépuisables autant qu'insoupçonnées et que dire que "ben, non, merde, j'y arrive pas ! Je ne me sens pas la force." ben, on a pas le droit. Alors on fait face, on sourit, on dit, "oui, c'est dur, mais je vais m'en sortir." ça rassure les autres et nous ben, on fait comme on peut, on s'en sort tout juste en se demandant tous les soirs comment on est arrivée à la fin de la journée. J'ai eu de la chance, je m'en suis sortie, finalement. Mais, avec le recul, je me dis que ce n'est pas normal, que je n'aurais pas dû franchir ça seule que j'aurais dû avoir le droit de demander de l'aide. Et toutes les mères devraient avoir ce droit, librement, sans jugement et avec amour et respect.

                          Le peu que j'ai à vivre, je vais le vivre libre et semer l'arc-en-ciel comme un oiseau de feu

                          Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 8
                          • Hilda Van Holp
                            Hilda Van Holp dernière édition par

                            Il est chouette ton témoignage. Merci 🙂

                            D'après mes derniers renseignements, il serait tout à fait possible que le Graal ne soit ni un vase, ni une coupe, mais... un récipient.

                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                            • Un Ancien Utilisateur
                              Un Ancien Utilisateur @Artelise dernière édition par

                              @Artelise pas de dépression du post partum mais de gros soucis psy en cours de grossesse, la dépression je l'ai fait pendant ma grossesse, angoissée au possible, imaginant les pires scenarios de maladie, d'une énième fausse couche. Je sentais que quelque chose n'allait pas.

                              Ma fille est née normale, mais très pâle et chez sa nounou sans arrêt des pleurs, elle se demandait si elle n'avait rien, et comme c'était une grossesse sous clomid, risque de cancer car famille à cancer, etc. J'ai arrêté de travailler pour ma deuxième grossesse et dès que mon fils est né, j'ai tout de suite vu que ce n'était pas pareil, aucune inquiétude pour lui, moins de pleurs, etc. Et 4 ans plus tard, découverte du cancer du tronc cérébral de ma fille (probablement une tumeur bénigne depuis longtemps qui est devenue cancéreuse), donc mon intuition de danger était réel...

                              Bien sûr, toujours une petite appréhension de ce qui peut arriver à mon fils, mais c'est mon terrain anxieux, rien de concret. Je suis aussi anxieuse pour mon mari, ma mère, etc.

                              Artelise 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                              • Artelise
                                Artelise @Invité dernière édition par

                                @Cynthia80

                                Je suis terriblement désolée que ton intuition ait vu juste pour ta première. J'espère de tout mon coeur que tes craintes pour ton deuxième restent vaines.

                                😘

                                Le peu que j'ai à vivre, je vais le vivre libre et semer l'arc-en-ciel comme un oiseau de feu

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                • Barbouille
                                  Barbouille @agathe dernière édition par Barbouille

                                  @agathe hum. L'eau de pluie a été déclaré impropre à la consommation et ceux partout dans le monde, et on pompe l'eau de la mer qui monte... alors on doit vraiment pas pomper assez vite puisqu'un peuple entier à été reconnu réfugié climatique puisque les atols ou ils vivent ont tout simplement disparu à cause de cette monté.

                                  Nan mais sans second degré... t'aura beau pompé tout ce que tu veux l'eau c'est un cycle donc elle retournera toujours, et si ce qui est un glaçon constant représente une montée des eaux mondial de plusieurs mètre, je te laisse deviné le total qu'il faudrait pompé pour essayé de faire en sorte que malgré le cycle le niveau ne monté pas sachant que les océans c'est 70% de 510 millions de kilomètres carrés en terme de surface

                                  D'autant plus que les usines de desalement sont pas là pour pomper seulement mais pour créer de l'eau potable donc elles sont surtout la ou y a pas trop d'eau pour la consommation.

                                  "Ils ont beau se cacher. L'amour le plus discret - Laisse par quelque marque échapper son secret."
                                  Jean racine

                                  agathe 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                  • agathe
                                    agathe @Barbouille dernière édition par

                                    @Barbouille
                                    je suis d'accord. Il ne suffit pas de dessaler l'eau.
                                    Juste dessalée, elle peut servir pour les cultures et tous besoins comme les nettoyages etc..
                                    Ensuite, on la traite comme on le fait actuellement pour tous nos réseaux d'eau potable.

                                    Ce serait bien que jabba ouvre le topic.

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
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