@Cygoris mais pas pour l'envirronement...

@Kallindra A l'approche de l'hiver, parfois des soirées voir des journées bien froides, puis beau temps de nouveau.
Avant on allumait la chaudière qui mettait du temps à chauffer les pièces, alors on ne l'éteignait plus, on la baissait juste. Avec la clim réversible le froid ou le chaud arrive tres vite, et on peut donc l'allumer que pour quelques heures, le matin et le soir, c'est donc moins energivore. Et la chaudière ne fonctionne donc que l'hiver installé.
Et je récupère l'eau pour mes plantes.

@ANNE5983 a dit dans Vous avez carte blanche ! :

Et je récupère l'eau pour mes plantes.

ca compense pas vraiment l'impact d'une clim mais ça donne bonne conscience ^^

Apparemment il existe une clim plus "propre", sans rejet de chaleur à l'extérieur mais c'est nouveau et évidemment ça coûte un bras.

@Kallindra L'impact environnemental du chauffage par climatisation est aussi moins important que celui par chaudière à gaz : il n'y a pas d'émissions de gaz à effet de serre dues à son fonctionnement. Et comme je te l'ai expliqué plus bas, je l'utilise moins à l'approche ou à la fin de l'hiver, c'est double bénéfice.

@ANNE5983 uns clim réversible donc électrique dans le nord, non merci, bonjour la consommation électrique, nous la chaudière tournait encore en mai...

@Cynthia80
La pompe à chaleur réversible que j'ai dans la chambre consomme très peu en mode chauffage.
Beaucoup plus en mode clim, mais je ne l'utilise que très peu, juste pour faire baisser un peu la température avant de venir dans la pièce, quand il fait vraiment trop chaud.

@Cynthia80 Bien sur tu ne peux pas comparer avec le Sud ou l'hiver est pratiquement inexistant.
Cette année je n'ai chauffé à temps complet que 2 mois.
Le reste du temps (soit un mois à tout casser) un peu le soir avec la clim.
Il faut dire qu'à Frejus on est privilégié, climat tempéré toute l'année.

@ANNE5983
De novembre à mars, tous les radiateurs sont à 16 degrés, je monte à 18 quand j'y suis.
Mais ils ne fonctionnent pas tout le temps, surtout en bas où j'allume le poêle.

@ANNE5983
de toute façon, on aura beau culpabiliser tout un chacun, ce n'est pas notre mode de chauffage qui a un impact foudroyant sur le climat.
Les donneurs de leçon font des erreurs eux aussi.

il faudrait déjà, et tout d'abord :
arrêter les millliers de bateaux qui sillonnent le globe
faite de même avec les avions ...
mais , même à notre niveau, qui sera d'accord pour ne pas aller en avion passer son week-end en Espagne ou en Irlande ???
personne !!!
On n'est déjà pas capable de se passer deux semaines de véhicule motorisé.

Depuis l'ère industrielle , la machine est en marche et nos efforts personnels en France ne représentent même pas une goutte d'eau dans les océans.
C'est irréversible, la planète "ne veut plus de nous"
et il y a belle lurette que les gouvernement le savent,
puisque les milliardaires, eux, dans un avenir peut-être pas si lointain que ça, pourront aller habiter sur une autre planète.
Les vols interplanétaires se multiplient.

Toutes les semences existantes sont cultivées en grande quantité dans d'immenses sous-sol .
D'autres bunkers abritent des stocks immenses des meilleures semences sélectionnées.
Autant pour prévoir dans le futur que dans la crainte d'une guerre bactériologique ou autre.

Nous avons détruit notre planète, faire des efforts cela aura un petit impact autour de nous, mais rien de plus.

@agathe je suis d'accord avec toi sur le fond "c'est déjà trop tard" mais quoi alors ? On lâche complètement l'affaire ? On n'essaye même pas de retarder l'échéance ?
Ce que je ne sais pas et que je serais intéressée de connaître, c'est comment tout ça est perçu aux USA et en Chine, en Inde ect... Ce que je crains c'est que les efforts même petits menés en Europe (par exemple) soient noyés dans la masse au niveau planétaire.

Oui, marcel ! c'est tout à fait ça. Nos pauvres efforts ne sont rien à comparer de la pollution des pays émergeants et des nations surindustrialisées.

Et comme personne ne veut freiner sa consommation et que tout le monde veut "mieux"... le résultat est irréversible.

@agathe a dit dans Vous avez carte blanche ! :

puisque les milliardaires, eux, dans un avenir peut-être pas si lointain que ça, pourront aller habiter sur une autre planète.

Alors là je reste dubitative
Ce n'est pas pour demain, crois moi ! Ils périront comme le reste de notre monde le moment voulu, lors de notre extinction.

Ma foi je partage le raisonnement d'Agathe : c'est fini pour nous et ce qu'on pourra faire ne fera plus que retarder l'échéance, et comme à notre niveau ce ne sera qu'insignifiant et que ceux qui peuvent agir à grande échelle ne veulent pas le faire, autant pas trop s'en émouvoir (sans pour autant faire exprès de faire n'importe quoi évidemment).

Comme la planète n'est pas du tout en danger et se relève de tout, c'est bien les personnes dessus qui le sont : nous, et franchement on ne sera pas une perte pour elle. Ce qui est triste ce sera pour les générations après nous qui n'auront rien demandé, pour ma part je m'en sens pas coupable puisque personne ne vient après moi.

@Marcel a dit dans Vous avez carte blanche ! :

c'est comment tout ça est perçu aux USA et en Chine, en Inde ect.

J'ai été surprise au Japon de voir que l'écologie n'existait pas (tout du moins c'est ce que j'en ai perçu lors de mon séjour). Tout est sur-emballé. Je pense aux cartes postales qui ont chacune leur sachet. Pas de poubelles dans les rues (ce qui n'empêche pas les rues d'être propres puisqu'il ne viendrait pas à l'idée des japonais de jeter leurs détritus par terre).
Dans certaines attractions (Universal et Disney) certains bateaux carburent au diesel bien polluant.

@Antigua dans la famille "j'emballe tout sous plastique" il y a au moins les USA aussi...

@Antigua J'ai découvert ça (l'absence d'actions écolo au Japon) dans les vidéos de Louis-San, il parle tout le temps de ce problème de sur-emballage plastique de tous les produits du quotidien, et je rejoins ta surprise, ce pays est un paradoxe sur tellement d'aspects (à la fois hyper moderne et indécrottable de certains concepts archaïques).