@Sylareen Question existentielle :
Mieux vaut-il passer pour un con ou pour un troll ^^

@Godzapon a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

@Sylareen a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Depuis un moment je me demande si tu n'es pas juste un troll, mais je crois que si XD.

Moi je dis la question elle est vite répondue

@Sylareen a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Mais la sensibilisation, c'est de la prévention... C'est un des moyens de faire de la prévention...
Non mais tu le fais exprès... Depuis un moment je me demande si tu n'es pas juste un troll, mais je crois que si XD.

Tu n'es ni obligée de me répondre ni de m'insulter !

Sensibiliser:

• Rendre quelqu'un, un groupe sensible, réceptif à quelque chose pour lequel il ne manifestait pas d'intérêt

Prévention:

• Ensemble des dispositions prises pour prévenir un danger, un risque, un mal ; organisation chargée de mettre en place ces dispositions

Prévenir:

• Annoncer à l'avance quelque chose à quelqu'un, le mettre au courant de ce qui va se produire, pour qu'il ne soit pas pris au dépourvu :

• Prendre les mesures nécessaires pour éviter un mal, un danger

• Annoncer à quelqu'un ce qui risque de lui arriver dans tel ou tel cas

La langue française possède quelque chose qui en fait sa richesse: "les nuances" !

Et j'ai bien précisé

Le but, dans les deux cas, est de faire en sorte que les gens comprennent qu'ils courent des risques, mais l'effet n'est pas le même...

@JL Tu peux citer toutes les définitions que tu veux, les témoignages sont un outil de prévention au même titre qu'une affiche ou un spot publicitaire

@Godzapon a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Moi je dis la question elle est vite répondue

Au final, le principal probleme qui se pose avec l'alcool, ne serait-ce pas les bris de verre des flutes de champ qui crèvent les pneus des cyclistes ?

@Peri Ils n'ont qu'à faire pitié et prendre le bus.

@Hornet a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

@Peri Ils n'ont qu'à faire pitié et prendre le bus

de leur grand-mère.

(J'aurais voulu avoir une grand-mère conductrice de bus. Comment ça aurait été trop bien)

@JL a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

@Sylareen a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Mais la sensibilisation, c'est de la prévention... C'est un des moyens de faire de la prévention...
Non mais tu le fais exprès... Depuis un moment je me demande si tu n'es pas juste un troll, mais je crois que si XD.

Tu n'es ni obligée de me répondre ni de m'insulter !

Sensibiliser:

• Rendre quelqu'un, un groupe sensible, réceptif à quelque chose pour lequel il ne manifestait pas d'intérêt

Prévention:

• Ensemble des dispositions prises pour prévenir un danger, un risque, un mal ; organisation chargée de mettre en place ces dispositions

Prévenir:

• Annoncer à l'avance quelque chose à quelqu'un, le mettre au courant de ce qui va se produire, pour qu'il ne soit pas pris au dépourvu :

• Prendre les mesures nécessaires pour éviter un mal, un danger

• Annoncer à quelqu'un ce qui risque de lui arriver dans tel ou tel cas

La langue française possède quelque chose qui en fait sa richesse: "les nuances" !

Et j'ai bien précisé

Le but, dans les deux cas, est de faire en sorte que les gens comprennent qu'ils courent des risques, mais l'effet n'est pas le même...

Tu cites toi même des définitions, c'est bien. Comme ça tu peux te rendre compte qu'effectivement, les témoignages rentrent dans les définitions que tu cites.

Non mais tu as raison, je vais arrêter de te répondre. C'est exactement le but d'un troll, qu'on perde du temps à lui répondre dans un dialogue de sourd.

@Kallindra a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

@JL Tu peux citer toutes les définitions que tu veux, les témoignages sont un outil de prévention au même titre qu'une affiche ou un spot publicitaire

Exactement, ça peut servir dans le cadre de la prévention, tout dépend des objectifs que l'on cherche à atteindre.

Mais sensibiliser c'est un travail bien plus proche du psychologue que de l'agent de police.

La prévention a également plusieurs aspects, elle peut être informative, dissuasive, etc...

Un petit exemple ici de la complexité de la prévention:

https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/formation-continue-a-la-securite/les-differents-concepts-de-prevention-des-risques-professionnels

Mais pour en revenir au tout début de ces échanges où je me permets de penser qu'un représentant des forces de l'ordre sera moins efficace, en créant peut-être un rejet chez certains jeunes, qu'un jeune de leur âge dont ils ne pourront pas rejeter le témoignage.

Imagine en sortie, qu'est-ce qui marquera le plus l'esprit d'un jeune: "Le flic qui dit que c'est pas bien, que le danger existe, etc..." ou "Le jeune qui a raconté son histoire, la soirée où son destin a basculé et qui vit désormais avec des séquelles bien visibles" ?

Que vous compreniez ou pas, je voulais exprimer une opinion basée sur une affinité et une connaissance du comportement de certains jeunes.

Après, libre à vous d'approcher des éducateurs spécialisés pour leur poser la question.

Je poste dans cette rubrique
Comme j'ai écrit mon fils a été hospitalisé urgence vitale etc.
Puis transféré en HP afin qu'il formalise "son geste". Samedi j'ai récupéré sa compagne à la gare la plus proche de chez moi sans lui dire qu'on m'avait dit que les visites n'étaient pas autorisées. Faut jamais être hospitalisé ou transféré les we, les psychiatres ne sont pas du service. Faudrait s'organiser quoi ^^
J'ai appelé le Fils, il m'a dit que le psy lui a dit qu'il sortirait lundi ou mardi, mais là fallait qu'il se repose. Au lieu de lui dire, vous verrez lundi avec le psy attaché au service. mER.. Car j'ai eu version différente des soignants.
Sa copine a raté son train (elle bosse loin et est hébergée actuellement chez des connaissances) et me dit, "il va y avoir un souci, je ne retrouve pas les clés" (pour récupérer le chat).
Donc elle a pris le suivant, puis en voiture, c'est à 2 H de route, je lui propose d'appeler l'HP pour les clés (on ne savait pas trop au départ si les pompiers avaient fermé la porte etc elle s'inquiétait AUSSI pour leur chat), on lui dit OK.
On arrive, les clés nous attendait avant de pouvoir entrer dans l'enceinte.
La personne me demande si je suis sa compagne, je réponds ironiquement, je suis sa mère, ai-je une tête de couguar ? ^^
Elle en rit.
Je demande si on peut entrer lui amener des clopes. Elle me répond "c'est prévu ? visites non autorisées" que ce sont pas les consignes qu'elle a reçues mais à force, ouvre la barrière.
Puis sa chérie lui amène clopes et comme je lui ai dit : ESSAIE de le voir, ce qu'elle voulait bien sûr.
Pour détendre l'atmosphère, en route j'avais envisagé un sitting et autres, quitte à ce qu'on la prenne pour une personne devant être hospitalisée ^^.
Je lui dis, j'ai un bouquin, prends tout mon temps.
Donc, elle amène les clopes et... **a réussi à passer 1/2 heure avec son chéri "**sous surveillance" gentillette.
Demain sera un autre jour :)

J'ai été consommateur excessif (une demie bouteille de whisky par jour, plus d'éventuels à côté) pendant 5 ans. J'ai arrêté de boire six mois, puis j'ai repris la consommation, avec un peu plus de modération. En 2004, le suicide d'un proche m'a plongé pendant un mois dans une consommation effrénée. Mon épouse m'a mis en demeure de choisir : la bouteille ou sa famille. Trois semaines de cure au CHU psychiatrie ont pu me "remettre à niveau". Arrêt de la boisson pendant 15 ans.
J'ai repris depuis un an la consommation d'alcool avec grande modération. Quatre-cinq bières par semaine environ, et deux verres de vin au moment des repas de famille. Ca se passe bien. Il me fallait casser cet interdit de ne pas boire qui commencer à me ronger.
J'ai commencé à boire en 1992 (j'aimais bien auparavant les samedis soir arrosés). J'ai effectué des semaines de travail de 70 heures pendant quatre mois à cette époque. La mort accidentel d'un copain de travail a été le déclencheur. J'avais le choix entre les médicaments ou l'alcool. J'ai pensé que boire deux apéros le soir après le travail seraient moins dangereux que des tranquillisants. Grosse erreur !!!!!!!

@jean Merci pour ton témoignage
Mon fils a mélangé une bouteille de sky et autres alcools et a fini ses médocs, j'ai vu les bouteilles en récupérant son chat.
Quand les secours sont arrivés (plus d'1H30 après mon appel, pourtant il vit à 2H de chez moi, mais j'étais sûre) le temps d'amener échelle etc puis le SAMU, il était dans le coma, il était près de la mort.
Un suicide ne s'explique pas, un moment c'est la seule solution, je dirais et ça peut revenir.

@Ortie le cousin de ma femme, pour ainsi dire un frère, était atteint d'une maladie, soeur de la narcolepsie. Maitre d'hôtel-sommelier (sous-payé - 14 heures de travail par jour), n'a pu rester dans la profession. Une bonne connaissance l'a embauché dans son hypermarché, au rayon bouteilles ! Catastrophe ! L'alcoolisme et un début de problème avec son épouse, plus cette maladie, l'a tué. Un garçon de 35 ans bon vivant, joyeux, aimant.

@jean L'alcool est un anti dépresseur ET toxique, ça désinhibe et peut aider à pousser à l’extrême dans les actes. (entre l’œuf et la poule, je ne sais pas)
Le suicide ne s'explique pas. Du moins mm si comme tout humain on peut avoir son avis, on ne peut pas se mettre à la place d'un autre.
Le suicide sur le moment est la seule solution pour celui qui passe à l'acte.

Je suis d'une ancienne génération et l'alcool a toujours été présent à la maison. Mon père d'ailleurs était ouvrier agricole dans un domaine viticole qui vendait le vin à l'exportation. Chaque semaine, son patron lui donnait un cubi de 5 litres, mais il le revendait à des voisins et l'argent, il me le donnait ( 5 francs à l'époque). Je n'ai jamais vu mon père saoul, même si parfois en hiver surtout, il gobait un oeuf cru dans un verre de vin rouge. Et l'époque des vendanges reste un souvenir très agréable pour moi, lorsque les vendangeurs venaient d'Espagne et qu'on chantait le soir, dans les remises où ils logeaient, et que ça sentait le raisin.
Mon frère par contre a un problème d'alcool, les après match de foot étaient super arrosés, et les disputes avec sa femme aussi !
Puis j'ai grandi, et l'alcool, comme les copains... En Espagne, l'été, en boîte de nuit. C'est déshinibiteur chez moi (je sais pas si on dit comme ça) et comme je suis une grande timide, ça m'aidait bien. Mais c'était juste l'été. De retour en France, comme je ne sortais plus, plus d'alcool, sauf à Noël, du champagne avec mes soeurs.
Lorsque j'ai connu celui qui allait être mon époux, il ne buvait pas une goutte d'alcool. Il avait eu une pancréatite et il avait cessé de boire. J'aurais dû me méfier et prendre mes jambes à mon cou ! Sourire !
On a acheté une maison dans les Pyrénées et petit à petit, il a commencé à prendre un verre de rouge à table, et puis deux, sous prétexte de convivialité, ça allait avec le confit... Et un jour, il a pris une bière et puis deux...
Et finalement, l'alcool a fait partie de notre vie. Il achetait des cubis de rouge, et parfois en rachetaient et quand je lui disais "encore ?" il me répondait qu'il n'était pas bon et qu'il l'avait jeté dans l'évier.
Alors il n'était jamais saoul au point de ne pas pouvoir marcher, mais on sentait la pression qui montait, il se mettait à râler, de plus en plus fort, et au bout de 15 jours, les yeux injectés de sang, il hurlait et avec les enfants, nous nous cachions. La vie était devenue un enfer. Pour lui l'alcool n'était pas forcément plaisir puisqu'il buvait même de la piquette.
Aujourd'hui, j'ai des bouteilles d'alcool chez moi, et au début, lorsque mes enfants étaient encore ados, je surveillais le niveau, de peur qu'ils n'y touchent. J'achète quelques bières de temps en temps, mais elles peuvent durer tout l'été dans le frigo, sans qu'on les touche.
Donc pour moi, c'est une addiction dans le sens où je vais en prendre si j'ai besoin de me déshiniber mais un plaisir le reste du temps ( une gourmandise même en ce qui concerne le Pacherenc :) mais la bouteille peut durer 3 mois ! )

J'ai lu le sujet, et ca m'a bien fait marrer

@Kallindra a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Pour revenir au sujet. Ma 1ere goutte d'alcool on me l'a raconté : j'ai trempé ma sucette dans le champagne le jour de mon baptême,

Quand j'étais petit, mes parents recevaient à l'apéro, et voilà que le petit djino met le doigt dans les verres d'alcool pour goûter...

Mon père "On ne met pas les doigts dans les verres"

Du coup, j'ai trempé mes petites voitures et je suçais mes petites voitures ...

Bon sinon, c'était une autre époque aussi, étant enfant mais plus grand que l'époque des petites voitures j'ai bien du goûter un peu de Schnapps, et puis mes parents acceptaient de mettre quelques gouttes de vin dans l'eau pour lui donner un petit goût...

Mais je ne suis pas devenu alccolique pour autant. SI je bois c'est uniquement en soirée ou lors de diners et je suis raisonnable. Et si jamais je dois prendre le volant c'est obligatoirement boissons sans alcool, même pas une petite goutte

@djino a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

Du coup, j'ai trempé mes petites voitures et je suçais mes petites voitures ...

T'as pas assimilé trop de peinture au plomb, j'espère.

@Roma31 a dit dans L'alcool, plaisir ou addiction ? :

il gobait un oeuf cru dans un verre de vin rouge

Pourquoi faire ? Oo

@Sylareen cela lui donnait des forces pour la journée disait-il