@ayamé il y en a qui s’en sont fait une spécialité, ça devient presque systématique.
Moi aussi ça m’agace.
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@miliam : tu n'es pas la seule, et tu ne l'as fait qu'1 fois. Comme le dit @Kitsune, il y en a qui en usent et en abusent et c'est là que ça devient pénible.
| dernière édition par ayamé Réputation: 14914 | Messages: 11175 -
Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Je rappelle que l'abus de l'option supprimer (que j'ai moi-même pu remarquer y a plusieurs semaines j'avais fait cette communication à ce titre aussi je ne peux qu'être d'accord avec le message d'Ayamé) comme l'utilisation abusive de n'importe quel outil du forum est interdite.
Bien que la modération systématique ne soit pas forcément la tasse de thé de tous je vous invite à faire des signalements si vous constatez ce que vous estimez être des abus.
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@hornet : j'apprécie certaines formes de modération, comme tes rappels à l'ordre.
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Bonjour. C’est tonton. Et j'ai une histoire. Comme d’habitude le topic de la rage. Comme d’habitude c’est un fait qui peut se régler en 3 lignes. Et comme d’habitude ça va faire un pavé. Allez enfiler vos chaussons nous voilà de retour dans l’enfer des hôpitaux.
C’était un beau jour ce lundi 9 mai. Mon anniversaire. Je décidai de m’offrir une radio panoramique dentaire à l’hôpital. Je vais vous décevoir mais ça s’est bien passé. L’histoire s’arrête là.
C’était un beau jour ce mardi 10 mai. Le petit gâteau surgelé de Leclerc à 10.99e est de mise pour mon anniversaire. Avec un petit Côtes de Bergerac blanc. On ne se refuse rien. Quand on a du pognon on flambe.
Oui mais voilà. Panique à bord.Mon père débarque et il est en feu. Sa sœur donc ma tante si je calcule bien (je suis à chier sur les liens de parenté et l’arbre généalogique) vient de faire une sale et vilaine chute devant sa porte d’entrée. Tête la première. 74 ans. Le profil qui inquiète. J’ai hérité de mon père sur le côté foufou qui panique. Tu tournes, tu vires, tu vas à droite, tu vas à gauche. Pour l’efficacité on repassera. Je prends les taureaux par les cornes et on file à vitesse grand V chez elle. Elle est dans son fauteuil, groggy, un nez contusionné, une profonde entaille à l’intérieur de la main droite. C’était la tête la première. On badine pas avec ces conneries.
Je tente d’appeler le S.A.M.U avec son téléphone fixe. Celui-ci date de la guerre froide. Je capte rien au système et je n’arrive pas à effectuer l’appel, ça commence bien. J’enquille avec mon portable qui passe mal. Je me retrouve sur le spot préférentiel : A califourchon sur la fenêtre. Le sauveur débute mal sa campagne.
Après des palabres d’usage avec une jeunette, j’ai un médecin, j’explique calmement le délire en disant que j’aurais été négligeant si je n’avais pas appelé vu que c’est la tête qui a tout pris dans la chute. Le médecin s’enflamme et comprends que je lui dis qu’il est négligeant, ça capte mal et ça part déjà en couille. Il me demande si elle a perdu connaissance. Négatif. Donc personne ne viendra. On prends la Toto-Mobile direction les Urgences.Les Urgences.
Ma tante qui percute un peu trop à notre goût souhaite qu’avant de partir nous fermions les volets de la maison, qu’on passe un coup de ménage et limite qu’on prépare les carottes pour le déjeuner du lendemain. Pédagogue je réponds « oui, oui » On ne fait rien. L’urgence est ailleurs. Des balloches. Des vraies. J’essaie tant bien que mal de barrer les portières de sa voiture mais c’est n’importe quoi, encore un véhicule d’un autre âge, je laisse tout en plan. De toute façon le seul criminel du village ces 20 dernières années étant le trop fameux médecin de campagne qui s’adonnait au plaisir fermier la nuit en allant voir les animaux pour communier avec eux d'une façon jugé trop sonore.
Le médecin (celui qui n’a rien à voir avec les animaux de la ferme) m’avait certifié que suite à l’appel, nous serions pris instantanément aux urgences. Le con. Ils aiment bien vanner aux Urgences. Les coquins. On arrive à 20h l’ambiance est bonne. Y a pas de péquenauds. Prenant le bras de ma tante, j’entre dans l’arène. Premier faux pas. J’ai eu le malheur de dépasser le paillasson qui délimite l’accueil de la zone de quarantaine. Je me fais salement rabrouer. En plus j’ai pas de masque. Je prends le tarif de zone.
J’explique tout ce merdier. La nana de l’accueil me dit « Euh ok bébé, le médecin que vous avez eu au téléphone c’est à la préfecture du département qu’il était, nous on est même pas au courant hein, faut te calmer mon petit couillon» Puis ma tante part dans la zone de quarantaine. Interdiction bien sûr d’accompagner ni même de rester dans la salle d’attente ou il y a les distributeurs de Kit-Kat à 2e pièce.
Bon je rassure mon paternel, il n’y a pas lieu de s’inquiéter outre mesure. On est dehors, il fait bon, c’est l’histoire d’une heure ou deux ? Mon cul. La zone calme au premier abord s’échauffe rapidement. Nous allons appeler le prochain personnage « Jean-Jacques »
Jean-Jacques débarque et Jean-Jacques est en colère. Santiags aux pieds, bouts pointus qui rentreraient dans n’importe quels orifices, tee-shirt Johnny Halliday au concert du Stade de France de 1998, veston en jean qui descends jusqu’au tibia. Je tiens une vedette. Pas le temps de niaiser avec les présentations. Jean-Jacques nous annonce que son fils respecté et respectable de 19 ans vient de se faire exploser la gueule par d’autres jeunes hommes dans une ville proche de mon village.
Pas le temps de compatir ou de le rassurer, Jean-Jacques réagit avec la hargne d’un père qui flirte avec la déraison. « Dés demain je vais allez péter des gueules. Je suis un ancien commando. J’ai des potes légionnaires. J’ai Bruce Lee sur Facebook » etc etc. Jean-Jacques a 50 ans. J’ose rétorquer en mode ninja que l’escalade de violences n’apportera rien de bon. Jean-Jacques me siffle aux oreilles. Je le laisse dans le doute.
Nous appellerons le prochain personnage Nathalie. Nathalie arrive tambour battant aux Urgences avec son chéri. Des torchons autour du bras son chéri à l’air pâle. Et pour cause. Une fois chéri à l’intérieur de la zone de quarantaine, Nathalie me confie que son chéri-bébé est un garçon nerveux et qu’après une petite dispute, il a traversé une ou deux fenêtres avec son bras pour manifester son désaccord. Sans doute lié à l’élection de Macron. Nathalie me demande si je n’ai pas d’alcool dans la voiture car elle s’offrirai bien une bonne rasade de quelque chose tant que c’est alcoolisé. Coupable je lui dit l’effroyable vérité. Je n’ai qu’une bouteille d’eau de 50cl que j’ai chourré au travail. Elle me snobe. Fin de la romance.
Le prochain personnage sera connu sous le nom de Janine. Janine débarque. Elle en ras le cul car ça fait 2 heures qu’elle attend dans sa voiture à faire des Sudoku. Janine a besoin de s’exprimer. Elle rejoint notre groupe de partage d’expériences. Son mari s’est claqué une vertèbre en pilotant une brouette dans le jardin. J’ai pas compris grand-chose au délire mais à ce moment-là je vous assure que j’étais prêt à accepter ce qui appartient aux contes et légendes. A savoir que j’étais mentalement prêt à voir débarquer aux Urgences un type avec un décapsuleur dans l’anus.
Mon père, perché comme toujours et qui parle haut et fort quitte à défrayer la chronique commence à dire qu’il connait Janine ! Je le calme. Après tout c’est le genre d’homme qui une fois dans un Intermarché, suite à une rupture d’électricité et d’extinction des lumières, s’est mis à gueuler que c’était un coup de Poutine. Le rayon charcuterie s’en souvient encore.
Manque de bol à l’évocation du village, Janine s’illumine, sa jupe reverdit et les deux tourtereaux réalisent qu’ils étaient les meilleurs amis du monde jusqu’en 1972. 50 ans sans se voir. A ce moment-là Janine est la membre gold de notre groupe. Mon héritage paternel n’est plus d’actualité. On a perdu papa. Il est en feu. Au moins ça lui fait du bien de tchatter avec Janine et ça fait oublier la boucle temporelle dans laquelle sa sœur est placée.
Au moment ou j’essaie de contrôler le tempo avec Nathalie pour qu’elle paye sa clope car j’ai oublié les miennes dans la débandade générale du début de soirée, coup de théâtre du côté de Jean-Jacques. Son fils débarque à la sortie des Urgences ! Alléluia. L’enfant-roi est là. Doux Jésus.
L’archétype même du racaillou qui deal de la pâte à tartiner et qui veut nous faire croire qu’il est une version blanche de Don King. Chaussettes fluorescentes Puma sur fond noir qui remontent jusqu’aux genoux. Pantacourt de survêt full option avec un stickers sur le côté gauche qui invite la police à allez se faire ouvrir la rondelle, chaîne en plastique massive. Il est fier de sa chaîne le con. J’ai eu exactement la même par le passé ! Sauf que moi je l’avais eu à 7 ans en cadeau dans l’édition spécial été du Journal de Mickey au début des années 90. C’est effroyable.
S’en suit un discours entre Jean-Jacques et son fils que je qualifierai d’audacieux :
En gras ça sera Jean-Jacques qui parle. Sans le gras c’est le fils forcément. Vous êtes pas des cons. Nous appellerons le fils Corentin.
« Bah alors t’es soigné mon p’tit ? T’as l’air agité qu’est-ce qui va pas ? »
« Wesh ça fait une heure que je veux fumer, je me suis barré »L’infirmer en chef débarque en sueur pour sermonner le jeune blaireau lui disant qu’il perdra sa place à la loterie s’il quitte la boucle temporelle au niveau des civières.
« Retourne-y gros débile. Tu fumeras après. T’inquiète pas ! On règlera ça demain sans passer par les flics ! J’ai été un COMMANDO moi ! »
Le père parle plus pour nous que pour son fils. Corentin trifouille dans son sac banane et se roule son joint et réponds à son père :
« Tranquille mon frère »
Merde. J’ai pas compris. Il appelle son père mon frère. Je ne suis pas dans les secrets de famille mais ça sent pas bon cette histoire. Puis il professe des menaces de rixes à coup de couteaux, de lacrymo, alors qu’il a juste pris une pichenette sur l’arcade sourcilière. Impossible de compatir, je ressens l’envie de le claquer. Le claquer très fort. Si seulement j’avais un décapsuleur.
Finalement le père se roule un morceau de balatum avec Corentin. La communion. L’infirmier retourne à l’accueil pour chasser des étrangers qui venaient aux nouvelles pour l’un des leurs en vociférant. Il est 23h10.
Je le marque à la culotte et je lui demande très gentiment si y a moyen d’avoir une astuce ou une info sur la sortie de ma tante. « Très rapidement monsieur ! » Ha les coquins. 1h00 du matin.
Je commence à être claqué, puis bon on commence à sortir la machine à calculer. 5 heures qu’on est là, dans 5 heures faut se lever pour allez au taf, j’ai fumé 5 clopes dans la soirée et Jean-Jacques qui a tenté de canaliser Corentin qui cherchait encore des noises à l’infirmier en lui promettant l’enfer sur terre demande 5 centimes à Nathalie pour son capuccino car il n’a que 0.30e sur les 0.35e requis pour s’offrir ce délicieux nectar. C’est la folie du 5 surtout qu’on est 5 à attendre dehors. Je commence à bader sur ce nombre et j’observe les alentours à la recherche du mysticisme. Je reçois un message de ma mère « si dans 5 minutes tu n’as pas de nouvelles je viens en voiture et tu rentres te coucher » La coupe est pleine.
Je brandis le drapeau blanc et je laisse mon père dans la panade, en pleine discussion avec Jean-Jacques qui lui raconte encore une connerie de l’époque ou il a fait des opérations spéciales au Sri Lanka pendant que Corentin n’écoute aucune consigne, ne respecte rien et marche tellement en mode racaillou qu’il serait foutu de se démembrer l’une des épaules rien qu’en faisant le kéké dans son déhanché.
Je salue affectueusement Nathalie qui vient de recevoir un sms de son chéri, il passe en opération, lacération, des entailles de mammouth. Elle me demande si son copain pourra travailler demain matin sachant qu’il est dans la mécanique. Je ne suis pas ingénieur en chirurgie des doigts de la main mais je lui réponds que ça va être tendax.
Au loin je revois la bande de Malgaches sur le parking, ils sont en train de faire la teuf dans leurs voitures en attendant leurs potes. Y a de la bibine et ça fume pas que des Kamel. Nathalie aura son shoot de vodka.
Quant à moi je quitte cet endroit sans regret. A 2 heures du matin et des bananes, je commence à me sentir partir dans le dodo. Pif Paf Pouf coup de téléphone ! C’est sans doute mes parents en direct de chez ma tante, et là ça stresse du froc. Je me dépêche, je prends le téléphone fixe en prenant soin d’ôter mon caleçon du lendemain qui était sur le combiné et je sais toujours pas comment j’ai fait pour le placer à cet endroit-là en rentrant des Urgences.
Je décroche :
« Oui allo, monsieur Kourski la Tepu ? »
"Oui "« Ca va ? »
"Oui "« C'est cool. Alors ici les Urgences à l'appareil. C’est pour vous dire que votre tante pète le feu et que vous pouvez venir la chercher »
"Mes parents sont dehors à attendre depuis le dernier solstice d’été, il vous suffit de regarder à travers votre miroir sans tain pour les apercevoir. Ils sont sans doute avec Jean-Jacques"« Ha ok. Désolé. A+ »
Bisous et respect à tous ceux qui charbonnent dans le milieu hospitalier et bon courage.
Les opprimés et les sans-grade ont un espoir. Dans un monde terne et sans pitié la lutte s'articule.
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Tu as fort bien résumé ce court panel de personnes qui se croisent aux urgences.
Y compris le timing des heures qui s'écoulent au ralenti, et sans être trop informé des événements en cours.
Et j'adhère à ta dernière phrase.Je souhaite à ta tante un bon rétablissement.
"....Le seul criminel du village étant le trop fameux médecin de campagne qui s’adonnait au plaisir fermier la nuit en allant voir les animaux pour communier avec eux d'une façon jugé trop sonore."
L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Et voilà ! Une petite remarque taquine de ma part et Mister Hornet me sous like ! (saoul like aussi tu me diras...).
Cabu disait : "Il n'y a pas de limites à l'humour qui est au service de la liberté d'expression car, là où l'humour s'arrête, bien souvent, la place est laissée à la censure ou à l'autocensure.".
J'ai enfreint les règles de la charte du forum ? Et bien je suis OK pour les respecter. Ça n'enlève pas pour autant une certaine rancune. Je suis dans le collimateur... Un post qui dérange et vlan ! Un vote négatif ! Et d'ailleurs pourquoi ça dérange ? Comment a t-on pu comprendre la teneur du message ? Par un smiley ? ?
J'étais taquin, je suis de plus en plus asocial, si ça continue je vais devenir misanthrope.
Enfin une autre citation et celle-ci et de Chomsky, destinée aux maître de ces lieux :
"Si l'on ne croit pas à la liberté d'expression pour les gens qu'on méprise, on n'y croit pas du tout".Monsieur Hornet, maintenant, arrêtez de trangiverser... Si vous avez la conviction que ma présence n'est pas souhaitable ni recommandable sur Popcornfr, virez moi et n'en parlons plus !
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Tiens en voilà un autre et ce sera pareil tant que t'agiras exactement au contraire de ce que tu vends (je suis là pour m'amuser les remarques me coulent dessus etc.)
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| dernière édition par Hornet Réputation: 37361 | Messages: 26714 -
Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@egon Dernier post avant flood...
Provocation à propos du message adressé à Hornet ? Où ?
Je me suis exprimé au sujet de la liberté d'expression...
Désolé de t'avoir contrarié, ce n'était pas dans mes intentions.
️
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@egon a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
Ma veste pue la mort. J'ai eu le malheur de l'avoir sur moi hier soir en rangeant les courses dans la cuisine. Moment où une des colocs faisait à manger. Petit souci, je ne sais pas ce qu'elle cuisinait mais ça puait la mort dans tout l'appartement. On a eu beau aérer, ça sentait encore ce matin en partant. Et manifestement, ça a eu le temps d'imprégner ma veste pendant les 5min que j'ai passé dans la cuisine. Je suis deg, je sens depuis ce matin au boulot, ça me saoule.
Elle va aller faire sa cuisine vietnamienne dégueulasse ailleurs. è_é
Alors là. Je confirme sans détour. Egon m'a demandé il y a 5 minutes si je m'étais fait pipi dessus. J'ai vérifié. Négatif.
En fait c'est la cuisine vietnamienne qui est à l'œuvre en coulisse. C'est un truc de malade mental. Egon a tenté une sortie dans le couloir pour aérer, elle a fait demi-tour elle était moitié en transe. On a tout calfeutrė, on tiendra pas longtemps.Les opprimés et les sans-grade ont un espoir. Dans un monde terne et sans pitié la lutte s'articule.
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@koursk Fuyez à l'extérieur en laissant toutes les portes et fenêtres ouvertes
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
Hier soir a quelques dizaine de km de l endroit ou nous allions retrouver des amis pour un week end camping je fais le plein, à peine repartie la voiture broute un peu et au bout de 2 km plus de puissance, défaut moteur....
Quelle galère 🤬 heureusement qu il y a des personnes sur qui on peut compter... -
Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@icescream oh zut ! pas de soucis avec l'essence elle-même ? Genre un fond de cuve ?
Heureux les fêlés...
Être dans le vent c'est avoir une ambition de feuille morte -
Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@biquette le supermarché m a dit qu ils n ont pas eu de retour. On verra le diagnostic du garage
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Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@icescream oui, les pannes tombent toujours au mauvais moment et au mauvais endroit. C'est à se demander si le diable existe
J'espère pour toi que c'est réglé.