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Une belle plume française, ses chansons me font sourires, penser, aimer.
Thomas Fersen
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Une belle plume française, ses chansons me font sourires, penser, aimer.
Je est un autre. J'assiste à l'éclosion de ma pensée : je la regarde, je l'écoute.
Thomas Fersen
@morphée : j'ai écouté bien attentivement comme convenu. Alors je viens ici te faire un petit retour.
Premier point positif : il donne le sourire à l'écouter. Il raconte avec légèreté la vie de tous les jours avec poésie , ce qui , au demeurant n'est pas déplaisant. Il joue avec les mots et ça ca me plait bien.
J'ai même été farfouillé sa discographie, et j'ai bien aimé celle ci de chanson . Très drôle.
Pour conclure , avec franchise je ne dirai pas que j'adore mais je ne déteste pas .
Merci pour ton partage.
Thomas Fersen
Il y a quelques heures le 4 mars 20h et des bananes. Je l'ai vue, enfin! De mes yeux vue, au 106 de Rouen! Un tel bonheur, un sourire scotcher tout le concert. J'ai chanter en coeur avec lui. J'ai Kiffer ! Monsieur le lapin je vous aime
Je est un autre. J'assiste à l'éclosion de ma pensée : je la regarde, je l'écoute.
Thomas Fersen
@apis-32 je trouve qu'on ne la jamais vraiment entendu.
Il est très discret et assez méconnu il me semble.
Il a reçu deux récompenses pour ses textes.
Avec son dernier album datant de 2019 c'est tous ce qu'il me reste
Il poursuit avec ce nouvel album les aventures théâtrales de son personnage: celui d’un farfelu se retournant sur sa longue carrière et ses frasques supposées de chaud lapin, son goût du déguisement portant tout naturellement Thomas Fersen à en enfiler la peau.
Élève de troisième, il tente sa chance auprès d’une terminale (« Les vieilles »), l’invite à passer chez lui pour faire des maths (« Mes parents sont pas là »). Mais il refuse avec fièvre de se démunir de son slip (« C’est tout ce qu’il me reste »). Une milliardaire s’éprend de lui (« Le vrai problème »), cependant, il passe l’été tout seul avec le bourdon, (« Envie de ne rien faire »), se souvient dans son bain que sa mère avait toujours peur qu’il tombe dans les eaux troubles (« La mare »), et subjugué par l’intelligence de deux singes qui s’épouillent (« Mange mes poux »), il va voir King Kong au Grand Rex (« Comme moi il aimait les filles »). Poursuivi par cinq zombies qui ne retrouvent pas leurs trous au cimetière, une nuit de pleine lune, il gagne le million à la roue de la fortune (« Les zombies du cimetière »).
Je est un autre. J'assiste à l'éclosion de ma pensée : je la regarde, je l'écoute.