Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ?
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Imaginez, pas de contrainte (pécuniaire, familiale, santé...) pas ou presque pas d'attache, et une bonne capacité d'adaptation ; en réunissant ces conditions (un peu idéales), si vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ?
Qu'est-ce qui vous fait particulièrement envie et qui tranche complètement avec votre quotidien ?
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Si on élimine les contraintes pécuniaires, on est bien d'accord ?
Dans ce cas déjà j'arrête de bosser. C'est une torture pour moi, même si j'aime bien mon job actuel. Je ne comprend pas les gens qui aiment travailler. Qui sont en mode "oh mais si je ne travaillais pas, je m’ennuierais" ou des trucs du style. Pour moi c'est tout l'inverse. Je n'arrive pas à comprend comment on peut être content de perdre 1/3 de sa vie d'adulte à travailler... (Un autre tier étant consacré au sommeil, ça ne laisse plus grand chose... Et ça c'est dans le meilleur des cas). Non content de perdre 1/3 de sa vie, on se ruine aussi la santé. Et à ça se rajoute le temps extrêmement joyeux passé dans les transports en commun ou dans les bouchons (peut-être que ça ne concerne que les citadins, mais j'imagine que les autres ont leurs problèmes aussi).
Pourquoi s'infliger ça ? Comment certains sont capables d'aimer ça ? Ca me dépasse.
Bref, tout ça pour dire que si je n'avais pas de contrainte pécuniaire, déjà j'arrêterais de travailler.Ensuite j'aimerais aller au Japon, plus ou moins longtemps selon si je m'y plais ou pas. Je veux faire plein de concerts de groupes japonais de visu et autres.
Ca me laisserait aussi plus de temps pour pratiquer mes passions. Par exemple je ne peins pas aussi souvent que je le voudrais. Parce qu'il faut sortir le matériel et tout, et tout ranger à la fin, et ça me gave. En plus c'est pas un truc qu'on peut faire en 2 minutes, il faut au moins prévoir plusieurs heures. Du coup même quand j'ai le temps je ne le fais pas, parce que je n'ai pas envie de "gâcher" ma soirée en ne faisant que ça... Sans la contrainte du travail, je pourrais faire ce que je veux.
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J'irais vivre au Quebec !!!!
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Comme l'a dit si justement @Sylareen je ne comprends pas les gens qui s'ennuient s'ils ne vont pas s'user l'échine pour certains ( enfin ceux-là je suis sûre que non ) , même si ton métier c'est une vocation tu dois pouvoir t'arrêter pour faire autre chose , si c'est un métier artistique je comprends mieux .
Notre rêve c'est de vivre dans une maisonnette pour ne pas direcabaneles pieds dans l'eau à manger du poisson grillé frais tous les jours de l'année en polynésie ou sur une île grecque . -
J'ai été arrêté 3 semaines il y a 6 mois car je m'étais fracturé le pied au travail. On m'a demandé si je m'étais pas trop ennuyé... Sérieusement ! Je prend une année sabbatique quand vous voulez ! Je lis, je joue, je code des truc qui me font plaisir, je cuisine, bref, sans devoir travailler ce serait l'éclate.
Pour en revenir au topic, si je devais tout plaquer, je partirai faire une formation pour apprendre à construire des earthship (des maisons en terre crue, en super adobe). J'essayerai d'en faire une, avec un potager semi automatisé (basé sur FarmBoy, un projet open-source) avec des panneaux solaires en mode Green IT. Je me dit que je pourrai en faire une sorte de maison verte autonome témoin, pour appréhender le virage idéologique qui nous attend dans pas longtemps.(appelez moi Nostradamus)
Mais j'ai trop "d'adhérences" avec la vie, le travail, pour me plonger là dedans. -
@Sylareen a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
Je ne comprend pas les gens qui aiment travailler.
C'est pourtant simple : quand on aime énormément son travail, il ne représente pas une torture. Imagine que ton métier consiste à mater des vidéos de visual kei, est-ce que tu serais en souffrance dès que tu dois le faire ?
Après je comprends ton propos : ce qui est pénible c'est la contrainte. Mais effectivement, il est possible d'aimer son métier même s'il oblige à se lever tôt le matin, à subir du stress etc. C'est un peu comme de faire du sport, objectivement ça peut être douloureux, on souffle, on transpire, mais si autant de gens s'obligent à subir ces désagréments, c'est qu'il y a quand même du plaisir à la clé.
Enfin perso je fais partie de ces gens qui sont heureux d'aller travailler, globalement mon métier me comble et me fais me sentir bien. Mais j'aime aussi être en vacances, surtout que j'ai la chance d'en avoir beaucoup, et je ne m'ennuie jamais pendant mes congés. Du coup pour me sentir bien, il me faut un équilibre travail-vacances. -
@Shanna Ce qui ne nous dit pas ce que tu ferais si tu devais tout plaquer. sifflote
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@Egon Je ne savais pas quoi répondre !
En fait j'arrive pas à imaginer ce que serait ma vie "sans attache". Par contre j'imagine bien ce que ce serait que de n'avoir aucune limite financière, mais ça ne m'aiguille pas beaucoup parce que bien que je ne sois pas riche, je n'ai pas de rêve insensé que je ne réalise pas par manque d'argent.
Même vivre dans le luxe absolu (genre palaces, fringues de dingue, restaus, chauffeur etc) je suis pas sûre que ça me tenterait plus d'une semaine, parce que ce serait pas hyper agréable d'avoir des "employés" moins fortunés. Ah si tiens, je ferais peut-être des trucs à la Elon Musk, genre financer la création d'un VRAI hoverboard -
@Shanna a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
@Sylareen a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
Je ne comprend pas les gens qui aiment travailler.
C'est pourtant simple : quand on aime énormément son travail, il ne représente pas une torture. Imagine que ton métier consiste à mater des vidéos de visual kei, est-ce que tu serais en souffrance dès que tu dois le faire ?
Après je comprends ton propos : ce qui est pénible c'est la contrainte. Mais effectivement, il est possible d'aimer son métier même s'il oblige à se lever tôt le matin, à subir du stress etc. C'est un peu comme de faire du sport, objectivement ça peut être douloureux, on souffle, on transpire, mais si autant de gens s'obligent à subir ces désagréments, c'est qu'il y a quand même du plaisir à la clé.
Enfin perso je fais partie de ces gens qui sont heureux d'aller travailler, globalement mon métier me comble et me fais me sentir bien. Mais j'aime aussi être en vacances, surtout que j'ai la chance d'en avoir beaucoup, et je ne m'ennuie jamais pendant mes congés. Du coup pour me sentir bien, il me faut un équilibre travail-vacances.Franchement, si mon job consistait à mater des vidéos de visual kei... peut-être que j'en souffrirai quand même oui XD.
Parce que d'accord c'est un truc que j'aime, mais j'aurais des obligations de résultats, de productivité, je serais obligée d'en voir d'artistes que je n'aime pas, je serais obligée d'avoir une écoute attentive et pas une écoute plaisir, et je serais quand même obligée de prendre les transports !!! (sauf si c'est à domicile).
Je ne sais plus qui avait dit un truc du genre qu'on se rend compte qu'on devient professionnel quand ce qu'on fait ne nous plait plus. Ou le corollaire, choisir un métier qui est notre passion fait que bientôt ça ne sera plus notre passion. (comme quand on commet l'erreur de mettre notre chanson préférée en réveil matin >.<).
J'aime mon travail, mais je n'aime pas aller travailler pour autant. Donc malgré tes explications, je ne comprend toujours pas ^^. J'accepte, mais je ne comprend pas.Et le sport, contrairement au travail c'est un choix. Les gens choisissent de s'infliger ça (les fous !). Alors que le travail bah... on pourrait dire qu'il y a le choix d'être à la rue mais bon... (et des fois on peut être à la rue alors qu'on travaille, mais bon...)
On pourrait aussi arguer qu'on a le choix de quel travail on fait mais bon... maintenant il faut un bac+8 pour faire le moindre truc alors il vaut mieux éviter de se planter... Sans compter que, diplôme ou pas, on va quand même se taper le chômage, ou un job alimentaire (si on a de la chance et qu'on n'est pas "trop diplômé"), ou des cdd précaires à répétitions. En fait je ne crois pas qu'on ait trop le choix, malheureusement. -
@Sylareen Ta conclusion est solide, je n'ai rien à arguer à ça !
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@Sylareen et si tu t'orientais pour faire du tourisme ?
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@Shanna a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
@Sylareen Ta conclusion est solide, je n'ai rien à arguer à ça !
Mais bon, heureusement s'il y a des gens assez optimiste dans la vie pour aimer aller travailler ^^.
@fifipop a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
@Sylareen et si tu t'orientais pour faire du tourisme ?
C'est à dire ?
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C'est beaucoup plus libre... la majorité du temps de travail, tu le passe dehors pardi
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@fifipop a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
C'est beaucoup plus libre... la majorité du temps de travail, tu le passe dehors pardi
Ah mais travailler dehors c'est un gros point négatif pour moi ^^.
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Han mais pareil, je détesterais tellement devoir bosser dehors.
En + les métiers du tourisme c'est clairement pas de tout repos à mon avis. -
@Shanna défini d'abord ce que tu veux vraiment ? tu pourrais aussi trouver un mari possessif tu sais lol.... comme çà tu restera à la maison sans rien à faire
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@Shanna a dit dans Si sérieusement vous deviez tout plaquer, ce serait pour faire quoi ? :
En + les métiers du tourisme c'est clairement pas de tout repos à mon avis.
Tu as raison, je devrais enlever mes pieds du comptoir, ça ne fait pas très professionnel.
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Si je devais tout plaquer, je m'en retirerais au domicile de feu mon grand-père, au bord de la mer, et je le rénoverais en intégralité.
Depuis son décès il y a 2 ans, c'est devenu la destination de villégiature familiale (même si on va pas se mentir, ça l'était déjà pas mal avant). On s'y retrouve un peu tous ensemble pour s'y reposer et bricoler à gauche et à droite, rattraper ce qui s'y casse la figure. L'ennui c'est que c'est en Espagne, pas la porte à côté, et que 15 jours par an c'est pas énorme pour avancer.
Ce qui me motive aussi, c'est que c'est au sein d'une station balnéaire un peu huppée que j'aimerais découvrir à la saison creuse. Les touristes partis et l'effervescence estivale retombée, il ne reste que les résidents et leur patois local, parmi lesquels une bonne proportion d'artisans, de peintres, de vignerons et de pécheurs. Nouer des relations de ce coté-ci tout en travaillant mon castillan et mon catalan, ça me plairait assez.
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Je crois qu'on a tous envie du plan de vie de @Peri là.