Alors j'ai eu l'idée de ce topic en me promenant sur Twitter ( je déconseille twitter à toutes les âmes sensibles, anxieux et autres, comme moi, après on ne dort plus )
Je fouinais à la recherche de quelques infos (je ne lis pas la presse, ne regarde pas les chaînes de télévisions et n'écoute pas la radio) et des fois Twitter c'est pas mal pour voir les nouveautés ( oui je sais ️ aux intox).
Et là que vois-je, un tweet d'une prof de fac qui en parlant du projet de loi sur la gestion pérenne en cas d'urgence sanitaire nous dit qu'elle ne comprends pas tout le "bruit" que ce projet de loi crée en parlant de
Ok déjà je commence à m'interroger🧐, les deux situations sont elles comparables? Et là je continue et nouveau tweet
Alors je tique un peu voir même beaucoup. Je prépare un tweet en réponse mais je suis une bille en informatique, réseaux sociaux et autres (vous avez déjà dû le remarquer une fois sur deux mes messages et topics ont des trucs qui clochent liens, images...) donc c'est trop long ou je ne sais pas quoi et j'arrive pas à répondre (je sais, je sais je suis vraiment ).
Mais c'est un mal pour un bien, du coup je viens discuter avec vous et pas avec ces trolls. Donc ma réponse aurait été :
"Je m'interroge également (Guignol2 désolé mais véritable question) : comment peut on parler de droit à ne pas se faire vacciner, de vaccin facultatif, en sachant parfaitement que seule une ou plusieurs parties de la population bénéficieront de cette possibilité. Je m'explique en interdisant l'accès de certains bâtiments, on oblige les personnes y travaillant à se faire vacciner, donc ils perdent la capacité d'exercer ce droit. En interdisant les transports en commun aux personnes non vaccinées on oblige toutes les personnes n'ayant pas le permis, ne pouvant pas le passer pour des raisons physiques, psychologiques, financières ou autres, à se faire vacciner. Qu'en est il de l'obligation pour les détenus en établissements pénitentiaires, les urgences dans les hôpitaux, les mineurs en foyer sociaux éducatifs fermés, les mineurs en général ... Que l'urgence sanitaire surpasse la liberté d'aller et venir me semble raisonnable mais qu'elle puisse être à l'origine d'une rupture d'égalité aussi importante entre les citoyens...En fonction des restrictions et interdictions décidées (par qui, comment autres questions, autre sujet), seule une petite partie de la population pourra réellement exercer ce droit. L'obligation de vaccins des enfants est une obligation qui concerne tous les enfants il me semble dès lors qu'ils entrent en collectivité. N'est ce pas par pur démagogie que de parler de droit, car à mon avis, droit il n'y a pas lorsqu'il y a nécessité et l'activité est une nécessité puisqu'elle constitue la source de revenus nécessaires à la survie de la plus grosse partie de la population?"
Bon (un topic méga long, je remercie d'ores et déjà tous les valeureux forumeurs qui y sont arrivés) du coup ma question pour vous, Qu'en pensez vous?
Peut on encore parler de droits, de libertés quand il existe une nécessité ou une obligation?
Les exemples sont nombreux à mon avis mais celui ci me semble être un bon point départ pour une réflexion ou si vous avez des exemples