Liberté d'agir de la police, encore possible ?
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 C'est pas que le pouvoir corrompt mais qu'il attire les corrompus. 
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 @Dryanaide a dit dans Liberté d'agir de la police, encore possible ? : @JL Personnellement, je ne m'insurge pas contre la police. Elle juste à l'image de notre société. Dans certain endroit en France, les services de l'Etat sont reçu à coup de pierre, machine à laver ou coktail molotov. Dans certain endroit, certain malfrats se baladent avec leur armes à la ceinture. La police doit malheureusement s'adapter au contexte. Automatiquement, il y a des débordements et le problème vient de la façon opaque dont ils sont traités. On parle beaucoup de ces gens frappés, maltraités voir tués par la police. On ne parle pas des policiers qui sont dans le même cas. Certes, c'est marginal, mais tant que le problème global de la violence ne sera pas régler, il y aura une opposition de la police et de la "société". Il faut peut-être arrêter de ce dire comme certaine personnes dans les médias que la police sont des salops et des racistes. Il y en a, il ne faut pas le nier, mais ils sont une minorités. La police n'est ni plus ni moins à l'image de la société dans laquelle elle sert. De mon point de vue, je n'aurais vraiment pas envie d'être policier en ces périodes ! 
 Servir de chair à canon pour des partis politiques qui se déchirent, m.... quoi !Comme l'a dit un célèbre polémiste, étrange que chaque fois qu'une vidéo sort, il s'agit d'un ancien délinquant et si possible de couleur ?! Histoire de bien chauffer les esprits qui n'attendent que ça pour aller se révolter dans les rues et tout casser, surtout du flic. Les images de la dernière manifestation lors de laquelle 98 policiers ont été agressés, on n'a pas relevé les belles paroles prononcées par les agresseurs, du genre "alors ma salope..." lorsqu'ils frappaient les policiers. Ces agresseurs n'ont besoin de rien pour exercer leur violence et en aucun cas ils le font pour défendre telle ou telle cause, c'est juste pour le fun. Sur ce point, là aussi, aucun ne parle de ce plaisir qu'on ces personnes à frapper la police et à frimer lorsqu'ils y arrivent. Je serais policier, j'aurais déjà donné ma démission. Ce qui me pousse à m'interroger sur le pourquoi ces hommes et femmes continuent à exercer ce métier ? Par quoi ou avec quoi l'État arrive à les forcer à rester et à agir alors qu'ils savent parfaitement (les policiers) ce qui les attend à chaque manifestation ou intervention dans des lieux dangereux ? 
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 @JL Ne te pose pas de questions de ce genre. Certain continuent parce qu'ils ne savent pas faire autre chose, d'autres parce qu'il ont encore foi dans leur mission et d'autres encore parce qu'ils ne sont pas encore à bout. En fait, ils sont à ce niveau là dans le même cadre que les profs, le personnel médical. Crois-tu qu'il soit normal de se faire décapiter parce que tu fais un cours d'EMC ? Crois-tu qu'il est normal de se faire frapper par les gens au urgence parce que ça ne va pas assez vite ? Il y a plein de situation qui peuvent rendre la vie difficile dans un certain nombre de métiers et heureusement que des gens continuent à les faire, à croire en leur vocation. 
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 Les policiers sont des fonctionnaires et salariés, rien ne force qui que ce soit à se faire mettre sur la tronche pour le plaisir des politiques qui ont besoin d'images fortes pour légitimer leurs décisions politiques. En tout cas, ce qui leur arrive est cruellement laid. 
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 @JL MERDE ! As-tu lu ce que j'ai écrit ? Je ne nie pas les problèmes de la police, je dis qu'ils font partis d'un ensemble. Ils sont salariés, les prof aussi. Ils se font taper, les prof aussi. Ils se font tuer, les prof aussi. Mais entre ces deux professions il y a une grosse différence puisque tu veux absolument dresser les gens contre les autres au lieu de les unifier contre une injustice: L'un sait en s'engageant que malheureusement il fait un métier dangereux au même titre que les militaires, l'autre n'est pas censé risquer sa vie en faisant un cours quel qu'il soit. 
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 Je ne pense pas qu'un seul enseignant s'est dit qu'il prenait un risque pour sa vie en choisissant ce métier, en tout cas, les deux métiers ne se comparent absolument pas ! Un enseignant est un transmetteur de savoir alors qu'un policier est censé jouer le rôle de gardien de la paix. Pour comparer, il suffit simplement de s'imaginer le pourcentage de chance qu'ont les deux de se faire agresser dans l'exercice de sa profession au point de finir en interruption de travail ou à l'hôpital. De toute manière, tous les soirs de ces dernières semaines on nous explique que les policiers sont là pour surveiller les manifestation et ne pas réagir aux agressions, alors que les manifestants veulent, par n'importe quel moyen, casser du flic. Est-ce que les étudiants ou écoliers veulent casser de l'enseignant ?! Il n'y a donc aucune raison de mettre sur le même niveau la dangerosité d'exercer le métier de policier et celui d'enseignant. 
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 @JL Houlà ! Je crois que je tiens un champion ... Voilà pour ton instruction "Monsieur je tout" Putain, j'ai trop l'impression de parler à gamin. 
  
 avec les sources: https://www.insee.fr/fr/statistiques/1283795
 https://www.20minutes.fr/societe/1489687-20141127-cinq-chiffres-chocs-violences-subies-enseignants-directeurs-etablissements
 https://www.lexpress.fr/actualite/societe/violences-contre-les-profs-les-incidents-en-hausse-de-7-en-2018_2070384.htmlOui, il faut plusieurs sources pour les recouper. Je vais arrêter là car le vent produit par ton babillage incohérent me porte un message incompréhensible que je n'ai pas envie de décrypter tellement il me semble partisan pour ne pas dire confinant fanatique. Tu n'es pas là pour discuter et échanger, tu es là pour imposer ton point de vue, écraser les autres sous ta pseudo connaissance. Et ce n'est pas parce que tu estimes que les professeurs sont des fainéants parasites de la société qu'il faut te croire dans le droit de cracher dessus ... un peu comme le font beaucoup de détracteur de la police. Maintenant cessons cette digression pour revenir sur le sujet qui concerne la liberté d'agir de la police. Au revoir triste sir. 
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 Hier j'ai vu l'émission Cash Investigation sur ces histoires de jeunes qui servent de bouches-trous dans le remplacement de fonctionnaires en arrêt ou non remplacés et de voir une responsable RH d'une région qui explique ce qui se passe, rien que ce petit bout de témoignage, où elle dit qu'elle est au bout, mais tout gentiment, qu'elle pleure régulièrement le soir alors qu'elle ne devrait pas, expliquerait pas mal de choses de ce qui se passe dans les différentes départements de l'État. Je ne sais pas, sur le marché du travail, comme sont perçus les anciens fonctionnaires lorsqu'ils se présentent à des places dans le privé ? Je n'arrête pas de m'interroger sur le pourquoi tant de gens continuent à s'accrocher à des jobs pareils plutôt que de les quitter le plus rapidement possible et surtout pour préserver leur santé ? 
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 @dryanaide j'ai un ami qui a eu des problèmes avec des policiers du commissariat de police de ..., en 2001, parce qu'il a voulu porter plainte contre trois collègues du centre de tri postal de ..... qui l'harcelaient quotidiennement. Ils ne respectaient pas non plus la loi Evin. En effet, certains salariés fumaient au dessus des sacs de courriers et faisaient tomber parfois leur mégot sur des sacs postaux présents dans le local où ils mettaient le courrier en sac. il a failli avoir les jambes cassées avec un gros chariot lancé par l'un de ses harceleurs qui avait appris entre temps qu'il était passé au commissariat pour porter plainte contre eux. Les flics avaient refusé sa plainte lors de son premier passage au commissariat qui se te trouve auprès du centre de tri. Il a donc décidé de repasser au commissariat pour porter plainte contre son collègue violent. Il était loin de se douter qu"il allait passer sa soirée dans une cellule. En effet, lors de son seconde passage, au commissariat, les flics ont de nouveau refusé son dépôt de plainte et ont décidé pour le dissuader de déposer plainte contre des mecs du centre de tri de le mettre en cellule avec une mineure toute la nuit. Quelques heures, plus tard, quand il leur a demandé de sortir de sa cellule pour fumer une cigarette, ils ont refusé et ont, à tour de rôle, fumé leur cigarette prés de la petite ouverture de la porte de la cellule restée ouverte 
 .Mon ami ne savait pas qu'en disant qu'il avait frappé à la mauvaise porte que L'un des flics qui avait entendu ses paroles allait ditre à ses collègues "vous avez entendu les gars, il a dit qu'il allait nous frapper". Ils ont fait venir un psy qui lui a donné un médoc en attendant l'arrivée des parents qui ont accepté qu'il soit placé en hôpital psychiatrique... Mon ami a découvert quelques mois plus tard que les enfants de certains flics travaillaient au centre de tri pendant la période estivale et que le commissaire connaissait bien le directeur du centre de tri.
 
			
		 
			
		 
			
		