je ne classe plus cette franchise dans horreur, mais dans action
Ça concorde avec ce que dit wiki : "M3GAN 2.0 est une comédie d'action et de science-fiction" .
C'est toujours un peu décevant ces franchises de films qui passent de l'horreur à l'action (ça m'évoque Dernier train pour Busan et Peninsula). On cherche à tromper le spectateur.
Hey (avec beaucoup de retard), je rentre de vacances, et c'est un petit plaisir que de lire tout ces résultats ! Merci comme toujours à @Shanna pour toutes ses bonnes idées (et le comptage des points qui ne doit pas être une mince affaire !).
Et je suis aussi très content de partager la première place avec toi, @Mai-Tai .
(et je suis assez déçu de ne pas avoir eu la présence d'esprit de rejoindre la team chocolat...)
Et j'ai adoré les 2 premières musiques du générique de fin, surtout la 2ème ! Ça donne la pêche
En effet.
Quant à moi j'ai particulièrement accroché sur le titre de Teddybears et Iggy Pop (scène finale ou Kal-El decide de visionner ses vidéos d'enfance de Smallville plutôt que celles de ses parents Kryptoniens)
Du côté de mon petit dernier, il a été perturbé par le titre suivant, qui commence par les 3 même premières notes que "J'ai demandé à la Lune" d'Indochine. C'est vrai que ça peut y faire penser.
J'ai beaucoup aimé.
C'est clairement le genre de film que tout le monde n'appréciera pas. Il nous plonge directement au milieu d'un univers développé, nous oblige à rattraper les wagons, et tente de caler un maximum de chose en un minimum de temps. Un peu comme si nous étions déjà devant un Superman 2 (sans avoir vu le 1), ce qui peut désarçonner les moins initiés à l'univers DC.
Pour paraphraser le youtuber Benzai, c'est un film riche et gourmand, mais à condition d'avoir faim de sucre.
Le film se permet par ailleurs une audace, en revisitant ici les intentions d'un personnage sacré du lore.
... puisqu'il met ici en opposition deux conceptions de la paternité :
Celle de Jor-El, père kryptonien de Superman, qui a placé en son fils les espoirs d'un projet... pas si louable que ça au final.
Celle de Jonathan Kent, le père terrien adoptif qui, de son côté, laisse totalement le champs libre à son fils, au détour d'une réplique qui a su raisonner en moi :
"Le rôle d'un père n'est pas de te dire quoi faire, mais de te donner les outils pour que tu puisses te ridiculiser tout seul."
On en a évidemment discuté après coup, mes deux grands garçons et moi.
Au final, le film est un bon feel-good, une excellente apologie de la gentillesse et ce, sans jamais tomber dans le niais ou le naïf.
On en ressort avec l'envie ( un peu "punk" ) d'être attentionné avec un peu tout le monde (là où un film Batman nous donnerait d'avantage envie d'aller péter des genoux ).